Citation de Romain Guilleaumes

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Tous les hommes naissent parasites sociaux. Les plus serviles au système deviennent citoyens honorables.... - Romain Guilleaumes

Tous les hommes naissent parasites sociaux. Les plus serviles au système deviennent citoyens honorables.

Romain Guilleaumes

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L'amour reste une puissance. Une puissance subjective. Une des rares expériences où, à partir d'un hasard inscrit dans l'instant, vous tentez une proposition d'éternité.

Alain Badiou

Aller voir la pièce, avec sa mise en scène kaléidoscopique et mouvementée donne assez l'illusion qu'on a l'heur d'être un bibliophile milliardaire, possesseur d'un exemplaire enluminé, raffinement inédit, au cinématographe.

Alfred Jarry

Pourquoi dites-vous ce proverbe dans le pays d'Israël : Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées ?

Bible

Le juge ne peut connaître que de ce qu'il ne connaît pas.

Charles Dumercy

... une préoccupation héritée d'un plaisir est à surveiller de près.

Daniel Pennac

C'est une sorte d'avidité que de parler de tout sans vouloir rien écouter.

Démocrite

Une année qui finit, c'est une pierre jetée au fond de la citerne des âges et qui tombe avec des résonances d'adieu.

Firmin van den Bosch

Nous ne sommes pas tousjours incitez à desirer faire ce que nous trouvons bien fait.

Jacques Amyot

J'étais parti pour me trouver Je ne reviens que pour aimer.

Jean-Jacques Goldman

J'ai toujours aimé les autodidactes, comme mon ami Clint Eastwood, ou Gary Cooper, Lino Ventura, Robert Mitchum... Ce sont des gens qui n'étaient pas dans le cinéma mais ils avaient un réel désir et ils y sont arrivés.

Jean-Pierre Mocky

La durée du désir fait plus que la moitié du bonheur.

Jules Lefèvre-Deumier

Tous les hommes sont égaux, il faut quand même battre le frère quand il est faux.

MC Solaar

Idée poétique : est celle qui, mise en prose, réclame encore le vers.

Paul Valéry

Le diable est diable parce qu'il se croit bon.

Ramiro de Maeztu

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, - Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. - ... - Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe, - Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Victor Hugo