Citation de Mircea Eliade

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L'homme areligieux à l'état pur est un phénomène plutôt rare, même dans la plus désacralisée des sociétés modernes. La majorité des sa... - Mircea Eliade

L'homme areligieux à l'état pur est un phénomène plutôt rare, même dans la plus désacralisée des sociétés modernes. La majorité des sans-religion se comportent encore religieusement, à leur insu.

Mircea Eliade

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L'amour suscite l'égoïsme, la crétinerie, la cruauté et la bestialité.

David Mitchell

Tu ne persuaderas jamais à mon coeur qu'il a tort de frémir ; à mes entrailles qu'elles ont tort de s'émouvoir.

Denis Diderot

Prix Nobel, Collège de France, Sorbonne, prix Goncourt ne préservent pas de la débilité politique.

Edgar Morin

La médecine, c'est un art qu'on exerce, en attendant qu'on le découvre.

Emile Deschamps

Qu'il est tentant de mettre les tâtonnements de sa mémoire sur le compte de la fatigue... Que n'a t-elle pas excusé la fatigue ?

Eric Faye

D'abord, pendant tout son cours d'introduction à la physique, elle eut l'impression de pratiquer le rétropédalage semoulaire.

Gregory Benford

Quand l'oiseau chante, chante la vie.

Guillaume Vissio

De l'amour ou de la haine que Dieu a pour les Anglais, je n'en sais rien, mais je sais bien qu'ils seront tous boutés hors de France, excepté ceux qui y périront.

Jeanne d'Arc

Une foule n'est accessible qu'à des émotions, elle est incapable d'une attitude d'esprit objective.

Jules Payot

Le poète est essentiellement un homme qui a gardé au fond de lui-même le sens du mystère et la faculté de s'étonner.

Julien Green

L'artiste doit être apolitique, mais engagé humainement.

Juliette Binoche

Si je savais pourquoi je suis si angoissé, je ne serais pas si angoissé.

Mignon McLaughlin

Hélas ! que j'en ai vu mourir, de jeunes filles. - C'est le destin : il faut une proie au trépas.

Victor Hugo

L'exil, c'est la nudité du droit.

Victor Hugo

Une fois ceux que j'aime en sûreté, qu'importe le reste : un grenier, un lit de sangle, une chaise de paille, une table et de quoi écrire, cela me suffit.

Victor Hugo