Citation de Jacques Ellul

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J'ai montré sans cesse la technique comme étant autonome, je n'ai jamais dit qu'elle ne pouvait pas être maîtrisée.... - Jacques Ellul

J'ai montré sans cesse la technique comme étant autonome, je n'ai jamais dit qu'elle ne pouvait pas être maîtrisée.

Jacques Ellul

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Je suis aussi, je suis surtout quelqu'un qui doute. De tout. Sauf de mon amour pour les animaux et les hommes et les arbres.

Armand Gatti

Les seules conférences au sommet qui riment à quelque chose sont celles des alpinistes !

Bernard Cusseta

On emploie sa jeunesse à s'enrichir, et la richesse à rajeunir.

Douglas Coupland

Il vaut mieux garder ses souvenirs d'enfance en soi, plutôt que de tenter de les vérifier.

Gao Xingjian

C'est très compliqué d'être ivre. Ça demande une certaine sagesse.

Gérard Depardieu

Si le visage est le miroir de l'âme, alors il y a des gens qui ont l'âme bien laide.

Gustave Flaubert

Les philanthropes du jour trouvent plus vite un grand système pour le bonheur de l'humanité, qui ne le leur demande point, qu'un petit sou pour l'indigent qui leur tend la main.

Jean Antoine Petit-Senn

Dans une poignée de sable de la route, j'ai mis un rayon de soleil qui brille, un murmure du vent qui se lève, une goutte du ruisseau qui passe et un frisson de mon âme, pour pétrir les choses dont on fait les histoires.

Jean Ray

Il y a deux espèces de pauvres, ceux qui sont pauvres ensemble et ceux qui le sont tout seuls. Les premiers sont les vrais, les autres sont des riches qui n'ont pas eu de chance.

Jean-Paul Sartre

La beauté du neuf, tout de même, c'est d'être propre.

Jules Renard

La belle langue française est perdue.

Jules Verne

Il n'y a pas de place pour les regrets dans la vie.

Philippe Djian

Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.

Stefan Zweig

Un cadavre est pesant du poids de ses regrets.

Sylvain Tesson

Heureux celui que les arbres caressent, que le vent conseille, que les enterrements saluent.

Théodore Fraenkel