Les vanités de la douleur sont étrangères aux âmes fidèles.
Honoré de Balzac
En politique on ne discute plus, on insulte.
Aurélien Scholl
L'époux légitime de la Mère Patrie, c'est toujours le Père Lachaise.
Claude Frisoni
J'ai toujours pensé que Diogène avait subi, dans sa jeunesse, quelque déconvenue amoureuse : on ne s'engage pas dans la voie du ricanement sans le concours d'une maladie vénérienne ou d'une boniche intraitable.
Emil Cioran
L'amour de soi passe chez tout le monde avant l'amour du prochain.
Euripide
Le jeune garçon sent son coeur, plein d'espérance vierge et de désir, bondir dans sa poitrine ; et déjà il s'apprête au travail de la vie ainsi qu'à la danse ou au jeu, lui, le mortel voué au malheur.
Giacomo Leopardi
Connais-tu cette joie de voir des choses neuves ?
Guillaume Apollinaire
Elle suivit les cours d'une école de dactylographie. Devant les pupitres d'école, des filles de tout âge chuchotaient tandis qu'une femme assise à une table lisait à voix haute...
Jacques Chardonne
Un beau-père aime son gendre, aime sa bru. Une belle-mère aime son gendre, n'aime point sa bru. Tout est réciproque.
Jean de La Bruyère
Le contraire de l'amour est l'apathie, et la haine est vraiment la même chose que l'amour - si vous êtes si dévorés par la haine envers quelqu'un, vous pourriez aussi bien les aimer parce que vous y pensez pendant le même laps de temps.
Marilyn Manson
Les gens sont généralement irrationnels, déraisonnables et égoïstes. De toute façon, ils méritent d'être aimés.
Mère Teresa
La plus grande partie du corps ne parle que pour souffrir. Tout organe qui se fait connaître est déjà suspect de désordre. Silence bienheureux des machines qui marchent bien.
Paul Valéry
Nous mourrons tous, mais nos tombes sont différentes.
Proverbe Malaisiens
Un gros qui s'appelle Enzo Popov, ça fait rire instantanément.
Véronique Olmi
L'homme est le travailleur du printemps, de la vie, De la graine semée et du sillon creusé, Et non le créancier livide du passé.
Victor Hugo
C'est bien dommage que son chagrin lui dérange quelquefois l'esprit.
Voltaire