Citation de Vicki Baum

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Elle avait cette expression de chat surpris et capricieux, que montrent parfois les pensées dans les parterres de fleurs.... - Vicki Baum

Elle avait cette expression de chat surpris et capricieux, que montrent parfois les pensées dans les parterres de fleurs.

Vicki Baum

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La justice écoute aux portes de la beauté.

Aimé Césaire

Non, tentateur, garde tes infernales potions pour la bouche lépreuse de tes lutins ou pour toi-même.

Charles Robert Maturin

Pour plaire aux autres, il faut parler de ce qu'ils aiment, et de ce qui les touche.

François de La Rochefoucauld

Il y a une chose pire encore que l'infamie des chaînes, c'est de ne plus en sentir le poids.

Gérard Bauër

Quelques années suffisent pour instruire un barbare. Il faut parfois des siècles pour l'éduquer.

Gustave Le Bon

Vous êtes bien haut, je suis bien bas, avec deux mots, nous allons nous trouver de plain-pied.

Honoré de Balzac

L'haleine de l'esprit, c'est l'attention.

Joseph Joubert

Les pensées qu'on a dans l'obscurité ne sont pas les mêmes que celles qu'on a dans la lumière. Il savait qu'en éteignant, il redeviendrait la proie de Moïra.

Julien Green

Elle se demande si elle va désormais passer sa vie sur les routes de l'Empire, accompagnant un cortège qui sera sans cesse pris et repris, volé, saccagé, jusqu'à ce que le nom d'Alexandre ne dise plus rien à personne et qu'elle puisse enfin être en paix.

Laurent Gaudé

Un ouvrage original en fait toujours construire cinq ou six cents autres ; les derniers se servent des premiers à peu près comme les géomètres se servent de formules.

Montesquieu

Converser conserve.

Paul Carvel

Cette chose vaut mieux denier qu'elle ne valait maille.

Proverbe Français

Ils prirent un couloir, puis un escalier qui embaumait l'encaustique.

Roger Martin du Gard

Dans une solitude extrême, Sur l'Océan seul je restai, Sans que Jésus prît en pitié.

Samuel Taylor Coleridge

On ne tourmente pas les arbres stériles et desséchés ; ceux-là seulement sont battus de pierres dont le front est couronné de fruits d'or.

Victor Hugo