Citation de Simone Weil

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Un critérium du réel, c'est que c'est dur et rugueux. On y trouve des joies, non de l'agrément. Ce qui est agréable est rêverie.... - Simone Weil

Un critérium du réel, c'est que c'est dur et rugueux. On y trouve des joies, non de l'agrément. Ce qui est agréable est rêverie.

Simone Weil

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Beaucoup plus profond, plus fondamental, est le besoin d'être unique pour être vraiment.

Albert Jacquard

Moi je fais deux régimes en même temps parce qu'avec un seul, je n'avais pas assez à manger.

Coluche

Selon son énergique expression, la Caille "n'en était pas".

Francis Carco

Noël, c'est la veille, c'est l'attente.

Georges Dor

L'homme qui peut empeindre perpétuellement la pensée dans le fait est un homme de génie.

Honoré de Balzac

Tout le monde sait qu'Iceland veut dire "Terre de Glace". En fait, la terre d'Iceland n'est glacée que sur la moitié de sa superficie.

Jacques Lanzmann

Le plus souvent, vous arrivez mieux à vos fins en faisant croire aux autres qu'il arrivent aux leurs.

Jesse Kellerman

Qui voudrait jouer au golf sans voir les trous ?

Kenneth Blanchard

Tout ce qu'on a pu lire sur la sexualité féminine a été écrit par des hommes, qui nous voient comme des objets et pas comme des sujets.

Lucía Etxebarria de Asteinza

Ce qu'on donne à l'amour est à jamais perdu.

Marceline Desbordes-Valmore

C'est dans tes yeux, je n'y vois que nous deux, dans tes yeux, où je peux nous retrouver, c'est dans tes yeux je n'y vois que nous deux.

Marie-Elaine Thibert

Le seul événement marquant de ma vie : avoir vieilli.

Michel Polac

On le voit, la nation française est particulièrement difficile à définir d'une façon simple ; et c'est là même un élément assez important de sa définition que cette propriété d'être difficile à définir.

Paul Valéry

Pour expliquer un brin de paille, il faut démonter tout l'univers.

Remy de Gourmont

Les monomaniaques de tout poil, les gens qui sont possédés par une seule idée m'ont toujours spécialement intrigué, car plus un esprit se limite, plus il touche par ailleurs à l'infini.

Stefan Zweig