Citation de Raymond Abellio

Déjà je n'avais pas vu poser sans malaise ces lignes électriques, ces conduites forcées qui blessent les pentes d'un trait artificie... - Raymond Abellio

Déjà je n'avais pas vu poser sans malaise ces lignes électriques, ces conduites forcées qui blessent les pentes d'un trait artificiel et rigide.

Raymond Abellio

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