Citation de Paul Guth

← Précédent Suivant →
Je m'abandonnais parfois à des mouvements d'impatience. J'explosais en vulgarités qui débondent.... - Paul Guth

Je m'abandonnais parfois à des mouvements d'impatience. J'explosais en vulgarités qui débondent.

Paul Guth

Toutes les citations de Paul Guth →

Explorer les Citations

J'ai très souvent envie de bouger, d'aller plus loin.

Antoine de Maximy

Pourtant je dois m'exprimer d'une façon ou d'une autre, je dois réfléchir - c'est un tel soulagement !

Charlotte Perkins Gilman

Rimons rimons belle dame Rimons rimons jusqu'à l'âme Et que ma poésie Rime à ta peau aussi...

Claude Nougaro

La vie est un labyrinthe dans lequel nous prenons la mauvaise direction avant d'apprendre à marcher.

Cyril Connolly

On ne peut comprendre Marx sans se souvenir de ses anthrax.

Emmanuel Todd

Il est plus aisé de tuer un homme que de ricaner sur la photo de son enfant.

Gilles Perrault

En France, l'amour-propre mène à la passion.

Honoré de Balzac

Aujourd'hui nous prenons un livre bien plus pour la façon que pour l'étoffe.

Honoré de Balzac

Il n'est pas de savoir sans discours.

Jacques Lacan

Il lui semblait que les quelques bouchées qu'elle s'était contrainte d'avaler lui restaient au fond de la gorge et l'étouffaient.

Julien Green

La femme n'est que le gracieux perroquet des imaginations, des pensées, des paroles de l'homme, et le joli petit singe de ses goûts et de ses manies.

Les frères Goncourt

Le grand défaut des hommes est d'abandonner leurs propres champs pour ôter l'ivraie de ceux des autres.

Mencius

Mais, avec tout cela, quoi que je puisse faire, je confesse mon foible, elle a l'art de me plaire.

Molière

Une forme inférieure du respect, la peur. C'est tout le respect qu'on peut inspirer à la bête.

Pierre Baillargeon

Sans relever les yeux de son journal, d'un doigt distrait il vérifia sa braguette et ses lèvres remuèrent avec une concentration accrue.

Vladimir Nabokov