Citation de Jean Racine

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Mais j'ai cru vous devoir avertir par avance ; Et souhaitant surtout qu'il ne vous surprît pas, Dans votre appartement j'ai retenu... - Jean Racine

Mais j'ai cru vous devoir avertir par avance ; Et souhaitant surtout qu'il ne vous surprît pas, Dans votre appartement j'ai retenu ses pas.

Jean Racine

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Ce n'est pas celui qui prie pour lui-même qui est guéri. C'est celui qui prie pour les autres.

Alexis Carrel

Le vrai bonheur est une contemplation active. Il ne peut être que dans les idées, pour l'élite des hommes. Et pour le commun, dans l'action.

André Suarès

Ne couvrez pas de voiles sinistres tout ce qui brille. Scrutez le miroir pour découvrir le fantôme qui s'y cache.

Anne Rice

Il faut s'être aimé bien peu pour pouvoir rester amis quand on ne s'aime plus.

Antoine de Rivarol

La confraternité est une bataille de fleurs artificielles.

Charles Dumercy

Faites votre mieux. Ensuite, ouvrez votre vieux parapluie et promenez-vous tranquillement sous l'averse des critiques qui ne pourront plus vous atteindre.

Dale Carnegie

Nous sommes tous des pervers sexuels persécutés.

Docteur Michel Meignant

Il viendra un jour où le grand artiste sera une chose vieillie, presque inutile.

Ernest Renan

Nous devons lutter contre toutes les peurs, et n'avoir peur de rien pour nous-mêmes.

François Hollande

Que de gens que l'on croit heureux et qui sont au désespoir.

Gérard de Nerval

Après tout, si la vie paraît mystérieuse, c'est bien parce qu'elle l'est.

Jim Harrison

L'expérience picturale de chacun, c'est notre profond désir, doit appartenir à la vie et par conséquent devenir inhérente à toute autre expérience vitale dont elle sera la projection.

Michel Vézina

Ce que l'on n'ose pas être, on ne l'est pas.

Olivier de Kersauson

Tandis que sa main brutale tenait ma corne résistante, il la brisa et l'arracha de mon front mutilé. Les Naïades la remplirent de fruits et de fleurs odorantes, la consacrèrent aux dieux et la Bonne Abondance s'enrichit de ma corne.

Ovide

Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les songes, et notre vie si courte a pour frontière un sommeil.

William Shakespeare