Citation de Giacomo Casanova

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Pour juger un homme, il faut examiner sa conduite quand il est sain et libre : malade ou en prison, il n'est plus le même.... - Giacomo Casanova

Pour juger un homme, il faut examiner sa conduite quand il est sain et libre : malade ou en prison, il n'est plus le même.

Giacomo Casanova

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Trois grandes forces dominent le monde : la stupidité, la peur et la cupidité.

Albert Einstein

Où que tu ailles. Quoi que tu fasses. Fais face à la réalité même si ce n'est pas la vérité.

André Rochette

Quand on commence à sortir les motivations religieuses, il me vient la frousse.

Andrea Camilleri

Quand le mort repose, laisse reposer sa mémoire.

Ben Sira

Le régime de la joie est celui du tout ou rien : il n'est de joie que totale ou nulle

Clément Rosset

Finalement on peut considérer que la New Wave est un concept un peu flou qui va englober toute la musique des années quatre-vingt quand elle n'est pas punk ou rock au sens classique du terme c'est à dire au sens "stonien" avec riff et solo de guitare.

Dominique Dupuis

Rien n'est impossible à qui veut vraiment.

Fernando de Rojas

Ce qu'il y a de plus beau dans les cimetières, ce sont les mauvaises herbes.

Francis Picabia

Un homme se décrit toujours inconsciemment lui-même quand il décrit quelqu'un d'autre.

George Bernard Shaw

Le nomade n'est pas tant le fils que le père du désert.

Jean Dorst

Les hommes croient toujours que ce qu'ils vivent est mortel. Ils oublient simplement que ça fait partie de la vie.

Katherine Pancol

Les enfants, c'était bien quand on avait la trentaine bien entamée, un emprunt pour sa maison, un boulot stable et des économies à la banque. Les enfants, c'était pour ces gens sans envergure qui n'avaient rien d'autre pour remplir leur vie.

Malorie Blackman

Vous vous mesurez par les personnes qui se mesurent à vous.

Morgan Freeman

Qui ne nourrit pas le chat, nourrit le rat.

Proverbe Français

Malheur à celui qui, dans le calme de son coeur, peut désirer mourir tant qu'il lui reste un sacrifice à faire, un bonheur à soigner, des besoins à prévenir, des larmes à essuyer !

Sophie Swetchine