Citation de Francesco Alberoni

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Dans la grisaille du présent, nous attendons un jour nouveau, une vie nouvelle, un printemps nouveau, une rédemption, un rachat,... - Francesco Alberoni

Dans la grisaille du présent, nous attendons un jour nouveau, une vie nouvelle, un printemps nouveau, une rédemption, un rachat, une revanche, une révolte.

Francesco Alberoni

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Mieux vaut aller à la poste hériter qu'à la postérité.

Alexandre Breffort

Vous, moi... nous possédons ce pays. Les politiciens sont nos employés... Et quand quelqu'un ne fait pas le travail, nous devons les laisser partir.

Clint Eastwood

Ils échangent, hulottes et chevêches, effraies et grands-ducs, des rires tremblés, des sanglots, des sifflements doux, et aussi ces cris poignants qu'entendaient seules les nuits.

Colette

Si la naisance est une distribution de cartes, le lieu de la donne compte autant que la valeur de notre jeu.

David Mitchell

O Seigneur, s'il y a un Seigneur ; sauvez mon âme, si j'ai une âme.

Ernest Renan

L'homme fort cache ses muscles. C'est le coq qu'on entend crier, jamais le boeuf.

Félix Leclerc

Celui qui peut moralement tenir le plus longtemps est le vainqueur : celui qui est vainqueur, c'est celui qui peut, un quart d'heure de plus que l'adversaire, croire qu'il n'est pas vaincu.

Georges Clemenceau

Quand on est militaire et qu'on n'a pas le sou, On devient millionnaire par une joie de rien du tout.

Gilbert Bécaud

Il n'y a qu'un seul public : celui qui vient pour aimer... Si les gens viennent pour s'aimer eux-mêmes ou chercher le reflet d'anciennes amours, le contact n'a pas lieu.

Maurice Béjart

Ah ! ne m'interrompez pas, Pierre Ivanovitch, je vous en prie, ne m'interrompez pas vous ne saurez pas, je vous jure que vous ne saurez pas raconter, je le sais, vous avez dans la bouche une dent qui vous fait chuinter...

Nicolas Gogol

L'homme heureux n'a pas de chemise.

Proverbe Français

En France, on n'a pas de pétrole, mais on a des idées ! Alors, j'ai troqué ma deux chevaux contre une deux boeufs !

Raymond Devos

Je passai la tête d'abord, j'avais les mains à plat sur le sol de la cour que mes hanches se tortillaient encore, prises entre les dormants.

Samuel Beckett

Quand une idée se saisit trop de moi au milieu de la rue, je tombe.

Stendhal

La littérature ne parle pas du monde, mais d'abord d'elle-même, mettant en évidence l'hétérogénéité fondamentale du réel et du texte.

Tiphaine Samoyault