Citation de Charles Péguy

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Nous devons nous élever de toutes nos forces et inlassablement contre les envahissements de toutes les barbaries.... - Charles Péguy

Nous devons nous élever de toutes nos forces et inlassablement contre les envahissements de toutes les barbaries.

Charles Péguy

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La conscience, comme l'appendice, ne sert à rien, sauf à rendre l'homme malade.

Alexandre Vialatte

Mais à ces soies généralement artificielles, à ces violents tons d'aniline, il voit un aspect fol et funèbre, comme à la défroque d'un bal autant de carnaval que de fête des morts

André Pieyre de Mandiargues

Les lois de la guerre permettent aux vainqueurs de traiter à leur gré les vaincus.

Arioviste

Les affaires d'abord, les plaisirs après, comme dit le roi Richard quand il poignarde l'autre dans la tour, avant d'étouffer les moutards.

Charles Dickens

Les meilleures ruses renferment toujours un germe de vérité.

George R. R. Martin

Quiconque a Dieu avec lui n'est jamais moins seul que quand il est seul.

Guillaume de Saint-Thierry

L'athéisme est le suicide de l'âme.

Jean Antoine Petit-Senn

Nous demeurions silencieux, comme roulés dans le rêve de chagrin de ce colosse perclus, de cette ruine habitée…

Julien Gracq

Les statistiques sont vraies quant à la maladie et fausses quant au malade ; elles sont vraies quant aux populations et fausses quant à l'individu.

Léon Schwartzenberg

Ma vie se définit et se déroule sans que je la pense. Ce n'est point qu'elle m'échappe, mais plutôt qu'elle me semble accordée en vue de tel ou tel accomplissement attendu, si bien que c'est une direction qui m'entraîne. Ma vie se vit sans moi.

Louis Calaferte

J'ai lu peu et tard... Mon père en a longtemps tiré argument pour me taxer d'arriération mentale.

Michel Tournier

La gêne du commandement fatiguera comme celle de l'obéissance.

Montesquieu

Le sexe mène à la violence ou à la mélancolie.

Philippe Sollers

Parcimonieux en kopecks, dépensier en roubles.

Proverbe Russe

Bonne année pour chacune et chacun de vous, pendant les quelques minutes où je vais vous parler, je ne voudrais ni vous ennuyer, ni vous attrister. Adieu donc 1974 et salut à toi 1975.

Valéry Giscard d'Estaing