Citation de Alfred de Musset

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Si je pouvais seulement sortir de ma peau pendant une heure ou deux ! Si je pouvais être ce monsieur qui passe !... - Alfred de Musset

Si je pouvais seulement sortir de ma peau pendant une heure ou deux ! Si je pouvais être ce monsieur qui passe !

Alfred de Musset

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La parole est inutile quand les yeux communiquent.

Alexis Martin

Qu'importe aux coeurs unis ce qui change autour d'eux ?

Alphonse de Lamartine

Si l'on est circonspect, c'est-à-dire si l'on est comme le marbre, froid et inhumainement prudent, alors on peut sûrement, sans le moindre doute, gagner tout ce qu'on veut.

Fiodor Dostoïevski

La vie est une comédie, laquelle il n'importe combien elle soit longue, mais qu'elle soit bien jouée.

François Desrues

Le bonhomme aimait passionnément l'horticulture, il était en correspondance avec les plus célèbres amateurs, il avaéit l'ambition de créer de nouvelles espèces, il s'intéressait aux découvertes de la botanique, il vivait enfin dans le monde des fleurs.

Honoré de Balzac

Les alternatives de craintes soulevées et de terreurs apaisées sont un peu la vie des sentiments, et tout aussi nécessaires à la maternité qu'à l'amour.

Honoré de Balzac

Le stupide est un sot qui ne parle point, en cela plus supportable que le sot qui parle.

Jean de La Bruyère

Toute recherche d'un héros doit commencer par ce qui est indispensable à tout héros : un ennemi.

John Woo

Il n'y a guère que le sadisme qui donne un fondement dans la vie à l'esthétique du mélodrame.

Marcel Proust

Il y a moyen de faillir en la solitude comme en la compagnie.

Michel de Montaigne

Les grandes récompenses dans une monarchie et dans une république sont un signe de leur décadence, parce qu'elles prouvent que leurs principes sont corrompus.

Montesquieu

Les hommes sont sentimentaux juste le temps de séduire...

Suzanne Daigle

Ceux qui soupirent vieillissent en un jour.

Théocrite

L'instruction améliore les bons et gâte les mauvais.

Thomas Fuller

Face à l'état du monde du travail aujourd'hui, ce n'est pas de la mélancolie que je ressens, mais un désespoir absolu, une sensation de débâcle.

Virginie Despentes