Citation de Albert Einstein

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Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité.... - Albert Einstein

Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité.

Albert Einstein

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Encore une définition possible de l'amour : le communisme minimum !

Alain Badiou

Entre deux amis, il n'y en a qu'un qui soit l'ami de l'autre.

Alphonse Karr

Il n'est de bons repas Que ceux qu'appétit assaisonne.

Antoine-Louis Lebrun

Les gens aiment bien s'imaginer qu'ils connaissent les autres : les parents veulent croire qu'ils connaissent leurs enfants. Les femmes veulent croire qu'elles connaissent leurs maris.

Gillian Flynn

La qualité d'un homme ne se mesure pas au nombre de fois où il tombe, mais au nombre de fois où il se relève.

Harlan Coben

Une loi injuste est un contresens.

Isaac Asimov

Le produit le plus net de l'athéisme est le désespoir.

Julien Green

J'aime le soleil mais je n'ai pas le temps d'avoir un bon bronzage et de le garder toute l'année, donc je suis une grande fan des produits de bronzage.

Kim Kardashian

Il ne faut jamais porter d'accusation contre le prochain, mais seulement dire qu'il vous dégoûte.

Louis Scutenaire

Est-il quelque défaut que les biens ne réparent ?

Pierre Corneille

Mieux vaut ne pas commencer, que ne pas achever.

Proverbe Allemand

Il faut casser la noix Pour en avoir la chair.

Proverbe Français

Il m'a expliqué en souriant que rien n'est blanc ou noir et que le blanc, c'est souvent le noir qui se cache et le noir, c'est parfois le blanc qui s'est fait avoir.

Romain Gary

La nature est souvent amie de l'homme. Même lorsqu'elle apparaît comme ennemie, elle donne à l'homme des chances d'essayer sa force et sa puissance. C'est comme une mère qui ne gâte pas ses enfants. Elle apprend à l'homme à nager lorsqu'elle fait couler son bateau, à construire une cabane plus solide et plus ingénieuse lorsqu'elle lui fait enlever sa toiture par ses vents.

Sait Faik Abasıyanık

Avouons-le, les têtes qui nous sont la plupart du temps accessibles sont inintéressantes, nous n'en tirons guère plus que si nous nous trouvions en compagnie de pommes de terre hypertrophiées, qui, plantées sur des corps souffreteux affublés de vêtements d'un goût discutable, traîneraient une existence piteuse, mais hélas pas du tout pitoyable.

Thomas Bernhard