Citation de Virginie Despentes

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Les intellos de gauche adorent les Roms, parce qu'on les voit beaucoup souffrir sans jamais les entendre parler. Des victimes ado... - Virginie Despentes

Les intellos de gauche adorent les Roms, parce qu'on les voit beaucoup souffrir sans jamais les entendre parler. Des victimes adorables. Mais le jour où l'un d'eux prendra la parole, les intellos de gauche se chercheront d'autres victimes silencieuses.

Virginie Despentes

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Plusieurs victimisations seront des provocations qui apporteront justement une violence non naturelle de défense.

Anonyme

Qu'est-ce que le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais. Si je veux l'expliquer à qui me le demande, je ne le sais plus.

Augustin d'Hippone

Tout le monde ne sait pas douter : on a besoin de lumière pour y parvenir, et de force pour s'en tenir là.

Bernard Le Bouyer de Fontenelle

Le discours est peu nécessaire Quand il ne s'agit que de faire.

Charles Perrault

Dès qu'on prend un crédit, on cesse d'être un homme libre.

Claude Lelouch

En tant que femme noire, j'ai souvent eu le sentiment d'être jugée en fonction de mon sexe et de ma race, et j'ai toujours su que cela ne devrait pas me gêner.

Halle Berry

La misère rend ingénieux.

Hélène Brodeur

Le mot "tuer" est employé plus de mille fois dans la Bible, et dans la plupart des cas les meurtriers se vantent de leur acte et en rendent gloire à Dieu.

Ivan Bounine

Proposons-nous de grands exemples à imiter, plutôt que de vains systèmes à suivre.

Jean-Jacques Rousseau

Les Sarkozy sont entrés dans l'histoire de la Hongrie, pas encore dans l'histoire de France.

Pál Sarkozy

Chaque poule vit de ce qu'elle gratte.

Proverbe Auvergnat

Ceux-là m'aimaient bien peu, qui m'ont haï pour rien.

Proverbe Écossais

Quand tu aimes quelqu'un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent. Tu prends tout, ou rien du tout.

Roger Jon Ellory

Le coeur de la femme s'attache par ce qu'il donne ; le coeur de l'homme se détache par ce qu'il reçoit.

Victor Hugo

Automates pensants, mus par des mains divines.

Voltaire