Citation de Victor Hugo

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Pigritia est un mot terrible. Il engendre un monde, la pègre, lisez : le vol, et un enfer, la pégrenne, lisez : la faim. Ainsi... - Victor Hugo

Pigritia est un mot terrible. Il engendre un monde, la pègre, lisez : le vol, et un enfer, la pégrenne, lisez : la faim. Ainsi la paresse est mère. Elle a un fils, le vol, et une fille, la faim.

Victor Hugo

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Quand on est enfant, on ne traverse pas les livres à toute allure comme on le fait plus tard, mais on s'y installe, on les déguste, après les avoir dévorés une première fois.

Anne Sylvestre

Un seul mot seulement, Jane. N'y avait-il que des dames dans la maison où vous étiez ?

Charlotte Brontë

Dire que tant et tant ont réussi à mourir !

Emil Cioran

Il y a des familles où tout ce qui touche à la sexualité est considéré comme sale ou défendu. On ne sait plus alors si on est un enfant de l'amour ou un enfant de la FAUTE.

Françoise Dolto

Notre littérature est comme une poule, elle pond sans cesse. Et les oeufs se ressemblent terriblement.

Jalmari Finne

Rollo : - Tu es d'une franchise assommante ! - Edith : - Tu préférerais que je ne dise pas ce que je pense ? - Rollo : - Je préférerais que tu ne penses pas ce que tu dis !

Marcel Achard

Ne pas transmettre ses expériences, c'est castrer l'avenir.

Marin Karmitz

Vous pouvez y arriver si vous y croyez.

Napoleon Hill

On aura beau tout savoir, tout manigancer, tout organiser, tout manipuler, penser à tout, le sexe nous déborde.

Philip Roth

Les moralistes ressemblent aux chimistes. Ils préparent des remèdes pour les autres, et s'en servent rarement.

Pigault-Lebrun

A la Saint-Grégoire - Il faut tailler la vigne pour boire.

Proverbe Français

Ma femme ! Qui a inventé cette possession ridicule ?

Roger Fournier

Le lacet d'un chemin noue la gorge.

Sylvain Tesson

Le suicide est le doute allant chercher le vrai.

Xavier Forneret

J'en ai toujours voulu aux femmes qui n'ont pas su déceler chez moi la part nue, celle qui jamais ne triche ; le point incandescent, de vérité brûlante, le croisement des souffrances ineffables- cette croisés de mes chemins où mes piteux avatars se rencontrent pour se taire.

Yann Moix