Citation de Valery Larbaud

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D'abord je me suis exagéré le risque. On n'aurait pas fait d'esclandre ; on m'aurait fait payer, simplement.... - Valery Larbaud

D'abord je me suis exagéré le risque. On n'aurait pas fait d'esclandre ; on m'aurait fait payer, simplement.

Valery Larbaud

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Je lui tins bien d'autres discours encore pour la détourner de son dessein ; mais je la haranguai fort inutilement ; elle avait pris son parti.

Alain-René Lesage

Lorsque la foi devient haineuse, bénis soient ceux qui doutent !

Amin Maalouf

J'adore regarder des films pornos.

Cameron Diaz

Nous élevons la gloire des uns pour abaisser celle des autres. Et quelquefois on louerait moins Monsieur le Prince et M. de Turenne si on ne les voulait point blâmer tous deux.

François de La Rochefoucauld

S'il est d'ordinaire d'être vivement touché des choses rares, pourquoi le sommes-nous si peu de la vertu ?

Jean de La Bruyère

C'est leur apanage aux guerres d'amener sur le devant de la scène ce qui se tenait caché en coulisses, qu'on ne voit pas d'ordinaire, le mettre sous les projecteurs.

Jean-Jacques Schuhl

Il n'y a pas d'autre moyen de se défendre contre la supériorité d'autrui que d'aimer.

Johann Wolfgang von Goethe

L'anonymat garantit l'honnêteté.

John Irving

Les nuages oranges du couchant éclairent toute chose du charme de la nostalgie ; même la guillotine.

Milan Kundera

Paris est aussi grand qu'Ispahan. Les maisons y sont si hautes qu'on jurerait qu'elles ne sont habitées que par des astrologues.

Montesquieu

La folie est un bateau sur lequel on peut danser toutes ses nuits et qui un jour peut s'éloigner en laissant la mer se refermer derrière lui.

Nadia Ghalem

Nul pays n'a tout en partage.

Proverbe Français

Un léger secours vaut mieux qu'un entier abandon.

Proverbe Wallon

N'était-ce pas elle qui, dès sa première rencontre avec Antoine, avait jeté son dévolu sur lui, vaincu ses résistances, fait patiemment sa conquête ?

Roger Martin du Gard

Quel champ de bataille que l'homme ! Nous sommes livrés à ces dieux, à ces monstres, à ces géants, nos pensées. Souvent ces belligérants terribles foulent aux pieds notre âme.

Victor Hugo