Citation de Thomas Mann

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Il fallut l'attendre une heure. On était arrivé sans l'être. Rien ne pressait, et l'on s'impatientait pourtant.... - Thomas Mann

Il fallut l'attendre une heure. On était arrivé sans l'être. Rien ne pressait, et l'on s'impatientait pourtant.

Thomas Mann

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Plus pleurs que pleurer c'est voir pleurer.

Antonio Porchia

Je me suis aperçu que mon chat m'observait. Chaque chat est un mystère.

Bernard Werber

Nous avons besoin de justice pour George Floyd.

Beyonce Knowles

En même temps, si on était mort, on ne pourrait pas se plaindre de la vie.

Frédéric Beigbeder

Dans toute vie un peu de pluie doit tomber.

Harry Crews

La campagne, cet éternel remède des affections auxquelles la médecine ne connaît rien.

Honoré de Balzac

Nous éprouvons l'or dans le feu, nous discernons nos amis dans l'adversité.

Isocrate

Qu'est-ce que ce quelque chose qui se répète ? Un certain mode du jouir. Le jouir de l'être parlant que vous êtes tous, qui m'écoutez, s'articule. Et c'est même pour ça qu'il va au stéréotype ; mais un stéréotype qui est bien le stéréotype de chacun.

Jacques Lacan

On ne s'élève point aux grandes vérités sans enthousiasme ; le sang froid discute et n'invente point ; il faut peut-être autant de feu que de justesse pour faire un véritable philosophe.

Luc de Clapiers

Avant qu'à nos erreurs le Ciel nous abandonne, - Profitons de l'instant que de grâce il nous donne. - Hastons-nous ; le Temps fuit, et nous traîne avec soy. - Le moment où je parle est déjà loin de moy.

Nicolas Boileau

L'avenir de cette société est de ne plus pouvoir rien engendrer que des opposants ou bien des muets.

Philippe Muray

Pour son bonheur entretenir, Promettre ne faut sans tenir.

Proverbe Français

Mes chimères et mes erreurs se sont évanouies : j'aime.

Théophile Gautier

Le pouvoir de la poésie est grand sur le peuple, je les ramènerai. Nous verrons qui l'emportera, des grimaces ou des belles-lettres.

Victor Hugo

Nous traitons les hommes comme les lettres que nous recevons : nous les lisons avec empressement, mais nous ne les relisons pas.

Voltaire