Citation de Sylvain Tesson

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Un arbre seul au milieu d'un champ : monument commémoratif d'une forêt disparue.... - Sylvain Tesson

Un arbre seul au milieu d'un champ : monument commémoratif d'une forêt disparue.

Sylvain Tesson

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La vie nous donne ce qu'on en attend, mais ailleurs, autrement, et à contretemps.

Alfred Fabre-Luce

Quand on songe au prix du bifteck, on comprend plus aisément pourquoi, en Inde, les vaches sont sacrées.

Anonyme

Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science De perdre au fond d'un lit l'antique conscience...

Charles Baudelaire

On parle trop souvent du bonheur. La seule chose qui toujours nous enivre Se banalise dans sa douceur.

Charles Trenet

Les grands travailleurs ne valent rien pour les grandes places ; mais ils sont bons pour les emplois subalternes.

Charles-Eugène de Lévis-Charlus

Je suis un grand vieux romantique.

Colin Farrell

Les dirigeants de la FIFA sont des vieux messieurs cramponnés à leurs fauteuils. Ils n'aiment ni le football ni les joueurs. Tout ce qui les intéresse, c'est l'argent.

Diego Maradona

Nous ne connaissons l'infini que par la douleur.

Germaine de Staël

Un être ne se sent obligé que s'il est libre, et chaque obligation, prise à part, implique la liberté.

Henri Bergson

M. Octave mesurait ce qu'il faisait pour les autres, moins à son efficacité, qu'au mal qu'il se donnait pour le faire.

Henry de Montherlant

Les traditions - comme les femmes - sont faites pour être à la fois respectées et bousculées.

Jean d'Ormesson

Sébastien, Vanessa, Kevin... ce sont les noms des enfants du concierge qui joueront sur la pelouse du Stade de France après le Mondial !

Laurent Ruquier

La nature fournit tout ce qui est nécessaire, mais elle ne donne rien ; il faut se servir soit même.

Louis Dupont

Dans les petites villes, les gens sont toujours prêts à partager vos ennuis. Si vous n'en avez pas, ils se font une joie de vous en créer.

Marcel Jouhandeau

Il faut renoncer à toute prudence. Ce siècle est fait pour tout confondre ! nous marchons vers le chaos.

Stendhal