Citation de Stanislas Leszczinski

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On ne saurait guérir d'une grande passion, qu'on ne se trouve long-temps heureux et malheureux tout ensemble.... - Stanislas Leszczinski

On ne saurait guérir d'une grande passion, qu'on ne se trouve long-temps heureux et malheureux tout ensemble.

Stanislas Leszczinski

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Le génie, c'est ce qui peut faire voir les étoiles en plein jour.

Alphonse Esquiros

L'incroyance n'est-elle pas une sorte de folie ?

André Rochette

J'aime les gens qui me font rire. Je pense honnêtement que c'est ce que j'aime le plus, rire. Il guérit une multitude de maux. C'est probablement la chose la plus importante chez une personne.

Audrey Hepburn

La France ne peut-être la France sans la grandeur.

Charles de Gaulle

La notoriété est à la gloire ce que le moineau de Paris est à l'oiseau de Paradis.

Edmond Jaloux

La crise des réfugiés montre que nous ne pouvons pas être isolés des troubles géopolitiques du monde.

Emmanuel Macron

Toute vie mérite qu'on s'y attache.

Eugène Dabit

Je pense qu'une des choses les plus saines qu'on doit avoir dans la vie, c'est de se conduire comme si on était mort.

Jacques Attali

Le coup de chapeau du parvenu est la mesure de sa fortune ; plus elle s'élève, moins il s'abaisse.

Jean Antoine Petit-Senn

Quant à vous, mon cher ami, frappez fort ; vous êtes en place marchande pour cela.

Jean Le Rond d'Alembert

Martial avait mis la charrue devant les boeufs. Il aurait voulu d'abord être sûr que Dieu existe, que la mort n'est pas la mort ; et ensuite, fort de cette assurance, il aurait peut-être essayé de vivre un peu mieux.

Jean-Louis Curtis

Elle se sentit aussi forte qu'une boussole qui ne perd jamais le nord.

Katherine Pancol

Les pleurs sont l'incontinence des faibles.

Marc Dugain

Il est bon, Madame, de ne pas laisser un amant seul maître du terrain, de peur que, faute de rivaux, son amour ne s'endorme sur trop de confiance.

Molière

Ecrire, c'est vouloir distinguer à travers des mots ce qu'en réalité on ne peut voir : naissance et mort, apparition et disparition fulgurantes des êtres. Perpétuité des catastrophes.

Pierre Péju