Citation de Sophie Swetchine

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Les voyages sont la partie frivole de la vie des gens sérieux et la partie sérieuse de la vie des gens frivoles.... - Sophie Swetchine

Les voyages sont la partie frivole de la vie des gens sérieux et la partie sérieuse de la vie des gens frivoles.

Sophie Swetchine

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Bébétude : torpeur du nourrisson après la tétée.

Alain Finkielkraut

Les nations de nos jours ne sauraient faire que dans leur sein les conditions ne soient pas égales ; mais il dépend d'elles que l'égalité les conduise à la servitude ou à la liberté, aux lumières ou à la barbarie, à la prospérité ou aux misères.

Alexis de Tocqueville

Le sportif intelligent évite l'effort inutile.

Anonyme

Pardonnez-nous tout à la fois, voyons ! permettez-nous l'amour et le besoin de manger ; ça nous humilie, tant pis ! Nous savons que vous êtes un homme grand et magnifique, vous aurez pitié de nous et vous accorderez tout.

George Sand

Rien n'est plus humiliant comme de voir les sots réussir dans les entreprises où l'on échoue.

Gustave Flaubert

Les uns ont l'heure et n'ont pas le temps les autres ont le temps et n'ont pas l'heure.

Jacques Prévert

La retraite, qu'est-ce que c'est, sinon la permission officielle de rouiller.

Janine Boissard

C'est plein de disputes, un bonheur.

Jean Anouilh

Elle m'a dit d'aller siffler là-haut sur la colline, de l'attendre avec un petit bouquet d'églantines. J'ai cueilli des fleurs et j'ai sifflé tant que j'ai pu, j'ai attendu, attendu, elle n'est jamais venue !

Joe Dassin

Bien des gens confondent mauvaise gestion avec destin.

Kin Hubbard

Le vent veut me caresser la peau, mais les circuits sont coupés. Je ne sens rien, je ne suis rien.

Mathias Malzieu

Tant que vous ne blessez personne, vos choix sont vos choix.

Miley Cyrus

Vent de Toussaint, - Terreur de marin.

Proverbe Français

Pourquoi demander si je t'aime encore, comme si, un jour, je ne t'aimerais plus ?

Rodrigo Pino

Les caresses homosexuelles n'impliquent ni défloration, ni pénétration : elles assouvissent l'érotisme clitoridien de l'enfance sans réclamer de nouvelles et inquiétantes métamorphoses.

Simone de Beauvoir