Citation de René Frégni

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Tous les matins, dans tous les bistrots du monde, des prairies d'Islande aux confins de la Terre de Feu, de la Sibérie la plus orientale... - René Frégni

Tous les matins, dans tous les bistrots du monde, des prairies d'Islande aux confins de la Terre de Feu, de la Sibérie la plus orientale à Manosque, le football embrase le coeur de milliards d'hommes qui s'éveillent.

René Frégni

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Quand les prédictions s'effondraient, la prophétie restait le seul espoir.

Albert Camus

Le théâtre n'a jamais été en Angleterre qu'une mode des hautes classes ou une débauche du bas peuple.

Alfred de Vigny

On l'écoute avant même qu'il ait parlé.

Anatole France

C'est le consentement de vous à vous-même, et la voix constante de votre raison, et non des autres qui vous doit faire croire.

Blaise Pascal

Je viens de Detroit, ville très dure à vivre et je ne suis pas un beau parleur.

Eminem

La facilité c'est le talent qui se retourne contre nous.

Jean-Paul Sartre

Comment peut-on s'attendre à voir les hommes recevoir de bonne grâce les conseils qu'on leur donne sur leur conduite quand on les voit rejeter avec dédain les avertissements qui regardent un danger présent qui les menace.

Jonathan Swift

Un mâle véritable ne flatte pas les femmes.

Jorge Amado

Nanti : Paradoxe vivant, car un nanti est rarement un opposant.

Marc Escayrol

L'idée d'être un symbole me déplaît, mais si je dois être le symbole de quelque chose je préfère que ce soit du sexe.

Marilyn Monroe

J'appelle techniciens ceux qui se trompent selon les règles.

Paul Valéry

Tête coupée ne se raccommode pas, Repentir tardif ne répare pas.

Proverbe Turc

Un grain de poussière ne souille pas une fleur.

Rabindranath Tagore

Plus les gens deviennent cultivés, plus leur bavardage devient insupportable.

Thomas Bernhard

Alors il reprit cette marche monotone et lugubre qui troublait dans ses rêves et réveillait en sursaut l'homme endormi au-dessous de lui. Cette marche le soulageait et l'enivrait en même temps.

Victor Hugo