Citation de Remo Forlani

← Précédent Suivant →
Un hebdo pour "mémères bécébégé" qui veulent être sapées dernier cri, tout savoir sur les calories et oublier leur ménopause en ayant l... - Remo Forlani

Un hebdo pour "mémères bécébégé" qui veulent être sapées dernier cri, tout savoir sur les calories et oublier leur ménopause en ayant le max de problèmes de coeur.

Remo Forlani

Toutes les citations de Remo Forlani →

Explorer les Citations

En forçant les hommes à s'occuper d'autre chose que de leurs propres affaires, il combat l'égoïsme individuel, qui est comme la rouille des sociétés.

Alexis de Tocqueville

L'amour est un chose qui est toujours de saison.

Barry Cornwall

Un plan de bataille parfait n'existe pas.

Bernard Werber

Je ne cherche jamais l'écriture. C'est elle qui me vient. C'est quelque chose qui sort du monde et qui me blesse. Ecrire c'est se découvrir hémophile, saigner de l'encre à la première écorchure, perdre ce qu'on est au profit de ce qu'on voit.

Christian Bobin

L'éducation, en fait, c'est toujours de la rééducation.

Didier van Cauwelaert

L'univers ne peut donc être un système de lois que si les phénomènes passent à travers le filtre d'une intelligence.

Henri Bergson

Les hommes cachent mal qu'une femme leur plaît, qu'ils la dévorent des yeux ou fassent semblant de l'ignorer.

Isabelle Sorente

Il faut apprendre à rire.

John Travolta

La révolution est une aventure merveilleuse pour ceux qui peuvent y gagner quelque chose.

Louis Scutenaire

A force de traîner un espoir, on finit par l'user.

Madeleine Leblanc

Ainsi que les hommes, tous les poulets ne se ressemblent pas.

Massa Makan Diabaté

Les hommes ne sont que ce qu'ils sont que parce que la nature n'est pas ce qu'elle est.

Pierre Dac

Tout ce qui vit vraiment est destructeur. On vit toujours aux dépens de quelqu'un d'autre.

Roger Fournier

Je me suis efforcé de rechercher et de me familiariser avec les écrits de sages, non pour être sage, mais pour marcher dans la sagesse.

Sivi le poète

La caravane, lentement, chemine ; les hommes cramponnés à leur selle ne parlent plus. Bercée au pas égal et balancé de ta monture, tu t'abandonnes, mieux aimée, te laissant délicieusement pénétrer de l'universel embrasement...

Théodore Monod