Citation de Régis Debray

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Les idées dominantes d'une époque sont comme le mobilier ou les tableaux des appartements de la classe dominante : ils datent de l... - Régis Debray

Les idées dominantes d'une époque sont comme le mobilier ou les tableaux des appartements de la classe dominante : ils datent de l'époque précédente.

Régis Debray

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Les doctrines, comme les nations et les individus, ne meurent qu'en refusant de s'engager.

Albert Camus

Les actes qui conviennent le mieux à la nature divine sont ceux qui ont pour but l'essence même de Dieu et non pas le salut des choses de ce monde.

Alexandre d'Aphrodise

La tendresse sans la raison constitue un caractère faible et impuissant, mais la raison et la tendresse rend l'âme aigre et rude.

Charlotte Brontë

Les peurs c'est comme les coups de feu, si on les affronte elles disparaissent, n'est-ce pas ?

Franck Pavloff

Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup, il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne. Il suffit d'un moment pour esquisser un sourire, mais son souvenir est parfois inoubliable. C'est le meilleur antidote de la nat

Frank Irving Fletcher

Aimer, c'est vivre à deux.

George Sand

Je me suis essentillement dédié à mon bien-être. Lorsque je me sens le mieux, c'est quand je me fais du bien.

Jean Yanne

L'argent, ce n'est pas tout ! Souvent, ce n'est même pas assez.

Jean-Loup Chiflet

La poésie n'a pas de place dans le monde. C'est un flamboiement qui s'infiltre par ses failles.

Nicolás Gómez Dávila

Le fraudeur fiscal est un contribuable qui s'obstine à vouloir garder un peu d'argent pour son propre usage.

Philippe Bouvard

Un rayon de lumière blanche, en traversant un prisme transparent, se décompose dans une infinité de couleurs.

Pierre-Simon de Laplace

Les chiens morts ne mordent pas.

Proverbe Anglais

Mains travailleuses sont heureuses.

Proverbe Français

À Paris dans chaque faubourg, à toute heure une âme émue rêve encore à l'amour.

René Clair

Je veux plus de cette vie où jamais demain ne veut dire quelque chose.

Virginie Despentes