Citation de Philippe Geluck

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Les borgnes lisent le braille à une main.... - Philippe Geluck

Les borgnes lisent le braille à une main.

Philippe Geluck

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J'aime que tout autour de moi soit clair comme du cristal et complètement calme.

Alfred Hitchcock

Le hasard de la naissance est moindre que le hasard du scrutin.

Ernest Renan

Il est presque impossible de porter le flambeau de la vérité parmi la foule sans roussir une barbe.

Georg Christoph Lichtenberg

Il me semble qu'à la première conscience qu'il aurait de lui-même, l'homme retomberait en poussière.

Georges Bernanos

Les femmes n'iront pas au Paradis, car il est dit dans un verset de l'Apocalypse : Et il se fera au ciel un silence d'une demi-heure.

Henry de Montherlant

Il y avoit au païs de Lacedemone très grande difformité (différence) et inegalité entre les habitans.

Jacques Amyot

On ne peut nier que la femme a distancé la guenon plus que l'homme le singe.

Jacques Deval

On dort les uns contre les autres. On vis les uns avec les autres. On se caresse, on se cajole, On se comprend, on se console, Mais au bout du compte, on se rend compte Qu'on est toujours tout seul au monde.

Luc Plamondon

Si vous compreniez tout ce que je veux dire, vous seriez moi !

Miles Davis

La chronique constitue le bâton de maréchal d'une carrière journalistique qui, permettant de ne plus parler que de soi, éloigne les mauvaises fréquentations auxquelles on doit d'avoir pris du galon.

Philippe Bouvard

Passé la Saint-Clément - Ne sème plus de froment.

Proverbe Français

Ce ne sont pas les individus qui sont responsables de l'échec du mariage : c'est l'institution elle-même qui est originellement pervertie.

Simone de Beauvoir

Pétrole : énergie que le temps met à notre disposition pour nous affranchir de l'espace.

Sylvain Tesson

Les concepts chrétiens ne l'ont jamais convaincue ; elle ne niait pas la possibilité d'un Dieu, mais elle préférait croire en elle-même plutôt qu'en une entité abstraite. Elle avait du mal à envisager l'existence d'un paradis et d'un enfer éternels - la vie ressemble déjà à une condamnation, que cette condamnation se poursuive après la mort paraissait absurde et injuste.

Victoria Mas

Les grosses bedaines accompagnent les maigres cerveaux ; et si des mets succulents enrichissent le corps, ils ruinent l'intelligence.

William Shakespeare