Citation de Philippe Bouvard

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Je ne pense pas davantage que ceux qui ne publient pas de pensées. Au contraire, puisqu'une partie de mes fonctions intellectuelles... - Philippe Bouvard

Je ne pense pas davantage que ceux qui ne publient pas de pensées. Au contraire, puisqu'une partie de mes fonctions intellectuelles se trouve consacrée à l'examen critique de ce que je pense.

Philippe Bouvard

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On fâche toujours les gens en leur disant qu'ils ressemblent à quelqu'un : ils se trouvent toujours mieux.

André Siegfried

Ça va aller de pire en pire, il n'y a plus d'eau, les sols crèvent, on va sûrement avoir des épidémies, des famines, une guerre nucléaire...

Anémone

Si vous voulez être libre de vos émotions il faut avoir la connaissance réelle, immédiate de vos émotions.

Arnaud Desjardins

Mesut Ozil a fait de moi le meilleur attaquant du monde.

Cristiano Ronaldo

La vie m'a appris une chose, dit Ström. On doit garder une certaine distance avec ses amis. Ses ennemis, par contre, il faut les garder tout contre soi.

Henning Mankell

L'amour, c'est quand la différence ne sépare plus.

Jacques de Bourbon Busset

Il est aussi difficile à une jeune femme de savoir qu'elle est laide que d'ignorer qu'elle est jolie.

Jean Antoine Petit-Senn

L'intelligence est notre faculté de ne pas pousser jusqu'au bout ce que nous pensons afin que nous puissions croire encore à la réalité.

L. Bickel

Ce que les majorités victorieuses ont surtout à redouter, c'est de vouloir toucher à tout à la fois, au risque de tout confondre et de tout compromettre.

Léon Gambetta

Assez d'autres états lui prêteront asile.

Pierre Corneille

Avec le roi et l'inquisition, chut !

Proverbe Espagnol

Quel genre de vie peut-on avoir dans une maison sans livres ?

Sherman Alexie

Fichtre ! fit Gavroche. Voilà qu'on me tue mes morts.

Victor Hugo

Le peuple n'est pas digne de la doctrine, le peuple n'étant qu'une multitude d'insensés...

Victor Hugo

Ma beauté, quoique médiocre, n'a pas besoin du fard de vos louanges : la beauté s'estime et se prend sur le jugement des yeux, et non sur l'humiliant éloge de la langue intéressée à la vanter.

William Shakespeare