Citation de Philippe Bouvard

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Célébrons l'aura dont, dans une société de simulacres, ceux qui ne lisent pas gratifient ceux qui écrivent.... - Philippe Bouvard

Célébrons l'aura dont, dans une société de simulacres, ceux qui ne lisent pas gratifient ceux qui écrivent.

Philippe Bouvard

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Lorsqu'on aime comme l'océan et que l'on souffre comme le Christ, l'art et la beauté suintent des moindres faits et gestes.

Altaf Tyrewala

Vous ne pouvez être maladroit : aucune maladresse n'est possible au défenseur d'une cause perdue. L'avocat du malheur est toujours éloquent.

Anatole France

J'ai toujours considéré que créer l'émulation, c'est exciter les enfants les uns contre les autres.

Anatole France

Je rêve d'une femme sourde et muette. Sourde, elle n'entendrait plus toutes mes niaiseries. Muette, je n'entendrais plus toutes ses médisances.

Anonyme

La partie n'est pas seulement dans le tout, le tout est aussi dans la partie. Ainsi l'Univers est en nous, la planète est en nous, la vie est en nous, l'espèce est en nous, la société est en nous, l'aventure humaine est en nous.

Edgar Morin

Le soleil c'est comme la mort, on ne peut le narguer trop longtemps, ça éteint les yeux.

Emmanuel Cocke

Tout n'est peut-être qu'une immense blague, j'en ai peur, et quand nous serons de l'autre côté de la page, nous serons peut-être fort étonnés d'apprendre que le mot du rébus était si simple.

Gustave Flaubert

Commencer, c'est avoir à moitié fini.

Horace

La sagesse née du désir Calme le poison du désir.

Kon-Tchog Denpai Dronme

Toutes ces femmes qui étaient à Saint-Cloud, criant échevelées comme des bacchantes.

Louis de Rouvroy de Saint-Simon

L'homme meurt avec les idées qui meurent en lui.

Névogan Rajic

Tout corps humain plongé dans un bain de travail finit par surnager.

Philippe Bouvard

Le cadavre d'un oiseau ne pourrit pas en l'air mais à terre.

Proverbe Africain

On ne sait jamais pourquoi on remplit une salle, mais on sait pourquoi on la vide.

Thierry Le Luron

On ne devrait communiquer que depuis l'anéantissement, l'amoindrissement, depuis cette absence momentanée de nous-même où, dévastés, nous sommes ouverts au monde comme une béance.

Yann Moix