Citation de Paul Thiry d'Holbach

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Tout nous prouve que de jour en jour nos moeurs s'adoucissent, les esprits s'éclairent, la raison gagne du terrain...... - Paul Thiry d'Holbach

Tout nous prouve que de jour en jour nos moeurs s'adoucissent, les esprits s'éclairent, la raison gagne du terrain...

Paul Thiry d'Holbach

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Il n'y a pas un être civilisé qui, en se levant le matin, ne reconnaisse la souveraineté de l'argent, sans lequel il n'aurait ni le toit qui l'abrite, ni le lit où il se couche, ni le pain qu'il mange...

Alexandre Dumas

Je me suis toujours demandé si les illétrés profitaient pleinement de la soupe alphabet.

Anonyme

La gloire suit ordinairement ceux qui la fuient.

Charles Rollin

Comment dire à ceux qui vous aiment qu'ils ne vous aiment pas.

Christian Bobin

La lune ressemblait ce jour-là à un eunuque dégoûté du genre humain.

Christine Arnothy

Dis : Dis : Allah. C'est nous ou bien vous qui sommes sur une bonne voie, ou dans un égarement manifeste.

Coran

Si tu remportes un prix Nobel, quelques personnes vont se réjouir pour toi. Si tu te casses la gueule, une foule de gens s'en réjouiront.

Daniel Desbiens

Quoi de plus près que la mort ? Quoi de plus éloigné que l'espérance ?

Henri Guys

La danse, c'est de l'architecture en mouvement.

Jérôme Touzalin

Un film, c'est la fête d'anniversaire du metteur en scène. C'est lui qui choisit ses invités et la musique, qui décide si l'on porte des chapeaux ou pas...

Jodie Foster

L'uniformisation du recrutement - social notamment - des journalistes a été pour beaucoup dans l'uniformisation de leur traitement de l'actualité.

Patrick Poivre d'Arvor

Je suis toujours agacé par les écrivains qui disent écrire chaque phrase comme si c'était la dernière de leur vie. C'est accorder trop d'importance à l'œuvre, ou trop peu à la vie.

Philippe Lançon

Qui vaut la peine d'être vu ? Oui, mais non qui vaut la peine d'aller voir.

Samuel Johnson

Il y a des gens qui ont une bibliothèque comme les eunuques ont un harem.

Victor Hugo

Craintive je te sers, aveugle je te suis.

Voltaire