Citation de Paul Éluard

← Précédent Suivant →
Que ne m'as-tu donné à penser ! Maintenant, je ne viens plus te voir que pour être plus sûr du grand mystère que constitue encore l... - Paul Éluard

Que ne m'as-tu donné à penser ! Maintenant, je ne viens plus te voir que pour être plus sûr du grand mystère que constitue encore l'absurde durée de ma vie, l'absurde durée d'une nuit.

Paul Éluard

Toutes les citations de Paul Éluard →

Explorer les Citations

Il y a des jours qui ne ressemblent à aucun autre. Il suffit d'un pas de côté, d'un brin de vent dans les cheveux. C'est ainsi que l'histoire commence.

Ahmed Kalouaz

Comment garder dans ma main ces noeuds de couleur qui se dénouent indéfiniment, ces caresses inventées par l'autre et que je ne sais reproduire, ces mots que je ne sais pas dire ?

Bernard Giraudeau

La seule révolution physiologique d'une vie humaine c'est l'amour.

Boris Cyrulnik

Ce n'est point par la rigueur des supplices qu'on prévient le plus sûrement les crimes, c'est par la certitude de la punition.

Cesare Beccaria

Je ris de douleur et l'on me trouve gai.

Étienne Pivert de Senancour

Je suis seule, exilée, bonne à être insultée par un mari qui m'a conquise en pays étranger. Je n'ai mère, ni frère, ni parent, Qui me donne un refuge en ce présent naufrage.

Euripide

Le lecteur aime se faire peur.

Franck Thilliez

Le peuple attribue tous les maux aux personnes plus qu'aux choses.

Jules Michelet

Nous, les femmes âgées en Europe, avons de la chance de ne pas être poussé dans un tiroir.

Kristin Scott Thomas

L'homme ne règle pas sa vie sur ses opinions.

Pierre Bayle

J'ai pris goût à la république, - Depuis que j'ai vu tant de rois.

Pierre-Jean de Béranger

Pour un bon appétit il n'est point de pain dur.

Proverbe Espagnol

A quoi reconnaîtriez-vous le mal qui est au monde sinon au bien qui est en vous ?

Roger Mondoloni

Votre journal annonce mon décès. Comme vous êtes toujours bien informés, cela doit être vrai. Veuillez donc supprimer mon abonnement, devenu inutile.

Rudyard Kipling

La société étant divisée par tranches, comme un bambou, la grande affaire d'un homme est de monter dans la classe supérieure à la sienne et tout l'effort de cette classe est de l'empêcher de monter.

Stendhal