Citation de Patrick Sébastien

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Le masque mortuaire de Napoléon ressemble étonnamment à François Miterrand... De plus si on compte 100 jours en partant du 10 mai... - Patrick Sébastien

Le masque mortuaire de Napoléon ressemble étonnamment à François Miterrand... De plus si on compte 100 jours en partant du 10 mai on tombe sur la Sainte-Hélène. Et on s'étonne que le socialisme empire !

Patrick Sébastien

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Vous êtes possédé ou quoi ?

Dieudonné

Le futur est bien obscur.

Eric Hobsbawm

Quand on sait qui l'on est, c'est plus facile de savoir ce que l'on veut et de le demander aux autres.

Guillaume Canet

Lorsque la franchise sert de tremplin à la bêtise, on se surprend à regretter l'hypocrisie.

Guy Bedos

Valerius fait abattre sa maison et la razer jusques en terre.

Jacques Amyot

Pour un acteur, faire un film historique, c'est vivre son rêve de changer d'époque, de voyager dans le temps. Ça nous remet en contact avec l'idée initiale d'enfant qui est de se déguiser, tout simplement.

Lambert Wilson

C'est après dîner que l'homme a le plus d'idées. L'estomac rempli semble dégager la pensée, comme ces plantes qui suent instantanément par leurs feuilles l'eau dont on a arrosé leur terreau.

Les frères Goncourt

Une chose que je vous demande : ne jamais avoir peur de donner. Il y a une joie profonde à donner, car ce que nous recevons est beaucoup plus que ce que nous donnons.

Mère Teresa

- Pourquoi lire dans les lignes de la main ? - Parce que dans les lignes des pieds c'est moins facile !

Michèle Bernier

C'est en bûchant qu'on devient bûcheron.

Pierre Dac

A femme hargneuse, mari brutal.

Proverbe Chinois

L'archer qui outrepasse le blanc, fault comme celui qui n'y arrive point.

Proverbe Français

Au moment où il rit, peu importe au vilain de mourir.

Umberto Eco

Quant à ces chefs magnanimes, Bonchamps, Lescure, La Rochejaquelein, ils se trompèrent. La grande armée catholique a été un effort insensé ; le désastre devait suivre.

Victor Hugo

L'avenir se brouille devant ses yeux et il éprouve, il éprouve alors pour la première fois cet implacable sentiment de défaite qui plus tard devait si souvent l'envahir et auquel il allait finir par succomber.

W. G. Sebald