Citation de Patrick Rambaud

← Précédent Suivant →
L'un des principes du journalisme moderne, c'est de ne heurter personne pour conquérir le maximum de lecteurs.... - Patrick Rambaud

L'un des principes du journalisme moderne, c'est de ne heurter personne pour conquérir le maximum de lecteurs.

Patrick Rambaud

Toutes les citations de Patrick Rambaud →

Explorer les Citations

Je n'ai jamais rencontré quiconque qui soit capable de parler de ses parents de manière posée, honnête et juste.

David Foenkinos

Je ne connais personne qui lève la main en disant : "Oh mon Dieu, j'aime être vulnérable et nécessiteux."

Demi Moore

Conservez tous les traits de ce beau visage comme ils sont ; relevez seulement un des coins de la bouche, l'expression devient ironique, et le visage vous plaira moins.

Denis Diderot

Il est possible de tirer un profond plaisir de toute chose si l'on veut bien y consacrer un peu de temps afin d'en savoir plus.

Francis Ford Coppola

La jalousie naît de l'insoutenable vision du plaisir qu'une créature aimée reçoit d'une autre et lui prodigue.

François Mauriac

Gibier : N'est bon que faisandé.

Gustave Flaubert

Si le pria de ne vouloir rien faire temerairement, ny à la desesperée.

Jacques Amyot

Nous serons les derniers à faire ce que nous avons écrit et ce que les autres nations exécutent.

Jean Le Rond d'Alembert

Mozart n'a jamais rien composé, jamais ! Il a copié ce qui était écrit sur son âme.

Marc Chagall

Dès qu'une pensée me séduit, j'en cherche le piège.

Paul Carbone

La musique donne une âme à nos coeurs et des ailes à la pensée.

Platon

Le monde était ici avec toute sa bizarrerie et sa vacuité. Ce n'était pas une peinture, c'est le monde nu, sans cesse à portée de sa main.

Riikka Pulkkinen

Vivre. Vivre serait une aventure incroyable.

Robin Williams

Les opinions sont comme les modes, belles quand on les prend, laides quand on les quitte.

Théodore Jouffroy

Les français commencèrent à se rendre recommandables surtout par les graces et les politesses de l'esprit : c'était l'aurore du bon goût.

Voltaire