Citation de Patricia Wentworth

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Tout comme au temps de Shakespeare, une touche de naturel suffit à rapprocher l'homme de tous ses frères humains.... - Patricia Wentworth

Tout comme au temps de Shakespeare, une touche de naturel suffit à rapprocher l'homme de tous ses frères humains.

Patricia Wentworth

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Qu'est ce qui chez les hommes, rend les femmes si seules ?

Elliot Perlman

Je ne connais pas de vainqueur que la victoire ait mis d'humeur chagrine.

Éric Tabarly

Gauchers : Terribles à l'escrime. Plus adroits que ceux qui se servent de la main droite.

Gustave Flaubert

Le christianisme n'est pas une grandeur historique : c'est l'histoire qui est une grandeur chrétienne.

Henri de Lubac

C'est trop facile de s'appuyer sur les autres, un jour on se retrouve dans un champ de béquilles.

Jacques Godbout

Céline Dion va être maman grâce à la fécondation in vitraux... C'est pourtant pas elle qui chante "Le Temps des cathédrales" ?

Laurent Ruquier

La recrudescence des psychoses et des névroses n'a peut-être pas d'autre origine que le refus de mettre les morts à leur place.

Louis-Vincent Thomas

Beaucoup de pourquoi au malheur, pas de pourquoi au bonheur.

Philippe Sollers

Autant croît le désir que le trésor.

Proverbe Français

Un certain orgueil nous dit bien que les remords des autres, nous ne les éprouverons pas.

Roger Nimier

La vengeance n'est jamais une ligne droite. C'est une forêt. On peut donc facilement s'y égarer, s'y perdre, oublier par où on est entré.

Sonny Chiba

On a le sentiment d'avoir deux âmes ; l'une pour faire, et l'autre pour blâmer ce qu'on fait.

Stendhal

Le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants.

Tacite

Le Temps qui, sans repos, va d'un pas si léger - Emporte avec lui que toutes les belles choses ; - C'est pour nous avertir de le bien ménager, - Et faire des bouquets dans la saison des roses.

Tristan L'Hermite

L'état d'esprit d'un homme qui prend une assurance sur la vie n'est pas tellement différent de celui d'un homme qui signe son testament : les pensées de morts sont inévitables.

Truman Capote