Citation de Patricia MacDonald

← Précédent Suivant →
Nina aurait voulu agripper les gens qui passaient auprès d'elle, les secouer, leur faire toucher du doigt l'inimaginable qui se p... - Patricia MacDonald

Nina aurait voulu agripper les gens qui passaient auprès d'elle, les secouer, leur faire toucher du doigt l'inimaginable qui se produisait là, juste sous leur nez...

Patricia MacDonald

Toutes les citations de Patricia MacDonald →

Explorer les Citations

Telle est la tâche de l'homme : conquérir l'espace et sanctifier le temps.

Abraham Joshua Heschel

Je n'ai jamais cessé d'être sincère lorsque je disais n'importe quoi.

Alexandre Minkowski

Le bruit de ses éperons accompagnait les éclats de sa voix.

Anatole France

De nos jours, le divorce est une cérémonie aussi respectée que la cérémonie du mariage.

Armand Salacrou

... Cette police dont les coupables sont le prétexte, et les innocents le but.

Benjamin Constant

C'est inouï le nombre de gens qu'il faut chasser de sa route pour qu'ils ne viennent pas piétiner les joies minuscules d'une journée.

Françoise Lefèvre

Il y a des gens qui ne sont heureux que dans la dépendance.

George Sand

Qu'est ce que la vie sans but, si ce n'est la mort au présent.

Guillaume Vissio

Ces extraits ont été imprimés dans un journal sans ma participation.

Jean Le Rond d'Alembert

Nous n'avions pas les mêmes pensées mais nous avions des pensées de même couleur.

Jules Renard

Elle a dit à Roy que les choses comme les tableaux, la poésie, tous ces trucs-là, elle a dit qu'ils révélaient ce qu'on était à l'intérieur. Elle a dit qu'ils révélaient votre âme..

Kazuo Ishiguro

Elle s'habille comme un sarcophage.

Lionel Chrzanowski

Le visage du monde se farde de plus en plus. L'artifice l'envahit à mesure que l'homme s'en rend maître.

Pierre-Jakez Hélias

Tout bien considéré, il y a deux sortes d'hommes dans le monde : ceux qui restent chez eux, et les autres.

Rudyard Kipling

Car lorsque les yeux parlent, ils tutoient, lors même que les lèvres n'ont pas encore prononcé un vous.

Thomas Mann