Citation de Nicolas de Tavernost

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Je passe ma journée à essayer de scotcher les individus devant la télévision et le soir je passe mon temps à essayer de descotc... - Nicolas de Tavernost

Je passe ma journée à essayer de scotcher les individus devant la télévision et le soir je passe mon temps à essayer de descotcher mes enfants. Je fais un véritable métier de schizophrène.

Nicolas de Tavernost

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Entre la théorie et la pratique, il y avait un monde de subtilités. Ne serait-ce que le simple fait que, par essence, l'homme était un animal égocentrique, jaloux de son confort, mais aussi envieux de celui des autres.

Alexis Aubenque

Les orties ont des yeux, un regard de côté qui médite l'égratignure.

André Suarès

Donner et retenir ne vaut.

Antoine Loysel

Le progrès est le développement de l'ordre.

Auguste Comte

Vivre ce n'est pas espérer demain, c'est être maintenant.

Bernard Giraudeau

Il ne comprit jamais, par exemple, que l'on se lavât le visage avant de se laver les mains. Il disait à Berthe : Tu touches ta figure avec tes mains sales, c'est une drôle de façon pour se laver.

Charles-Louis Philippe

Français et Allemands se couchèrent en joue pour pouvoir s'y donner des gifles.

Claude Schnerb

Il n'est pas breuvage meilleur pour être en sang transmué, vous épanouir le cerveau, esbaudir les esprits amicaux, ouvrir l'appétit, réjouir le palais et mille autres rares avantages.

François Rabelais

Les bonnes intentions sont perverses.

Jane Smiley

Avril est peut-être le mois le plus cruel, mais mars est bien le mois le plus sale.

Laura Kasischke

La nuit donne le repos, le jour fait le travail.

Ménandre

Après de longues minutes d'attente, on finit par récupérer l'hebdomadaire que l'on espérait... Et à peine a-t-on commencé à lire l'article qui nous intéresse que la secrétaire nous appelle... La médecine est vraiment impitoyable.

Patrick Sébastien

Pour réformer ce qui va mal, il faut commencer par sa maison.

Proverbe Français

Veux-tu de nous ? La paix. N'en veux-tu pas ? La guerre.

Victor Hugo

Le contraire de la guerre n'est pas l'amour, mais une fin d'après-midi orange, en novembre, dans une école maternelle. On n'y compte ni cadavres ni blessés ; nul n'y tremble. Tout y est chaud et bigarré.

Yann Moix