Citation de Michel Leiris

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A elle qui gagnait sa vie en tapant à la machine toute la journée, sa joie était de se changer, la nuit, en clavier que son amant mani... - Michel Leiris

A elle qui gagnait sa vie en tapant à la machine toute la journée, sa joie était de se changer, la nuit, en clavier que son amant manipulait.

Michel Leiris

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Qui fore la terre trouve du pétrole. Qui fore le coeur se trouve tout seul.

Charles de Leusse

Comme l'alouette, la coquette se prend au miroir.

Charles Dollfus

Oui, monsieur, poète ! et tellement, Qu'en ferraillant je vais - hop ! - à l'improvisade Vous composer une ballade.

Edmond Rostand

La mise en scène, c'est comme le tennis. Au début, on trouve ça déjà tellement difficile de renvoyer la balle dans le court qu'on ne cherche même pas à avoir de stratégie.

Francis Veber

Il avait éveillé dans cette femme une haine qui ne désarmerait jamais.

François Mauriac

La science ne saurait être rendue responsable de l'illusion des imbéciles qui prétendent, on ne sait pourquoi, qu'elle doit assurer leur bonheur.

Georges Bernanos

On ne peut se faire que peu d'amis, même en y mettant beaucoup de soin, tandis qu'on peut se faire infiniment d'ennemis presque sans y prendre garde.

Henri-Frédéric Amiel

Je crois que mon prochain qui tombe a besoin d'aide, La prière jamais ne lui fut un remède.

Ivan Vazov

On ne met rien dans son coeur ; on y prend ce qu'on y trouve.

Marivaux

J'ai souvent l'impression que le livre que je viens de finir n'est pas content, qu'il me rejette parce que je ne l'ai pas abouti.

Patrick Modiano

Question de confiance à propos de la Turquie : faut-il offrir des sièges à Strasbourg à des gens qui n'ont pas été capables d'en doter leurs propres commodités ?

Philippe Bouvard

L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir.

Pierre Corneille

La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à faire autre chose que ce que l'on devrait.

Sénèque

Il n'est pire ennemi qu'une lâche réflexion.

Sophocle

Le souverain, à qui tout appartient, ne s'appartient pas.

Stefan Zweig