Citation de Mario Puzo

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Le passé est le passé. Ne regarde jamais en arrière. Ni pour chercher des explications, ni pour trouver le bonheur. On ne change ni le mo... - Mario Puzo

Le passé est le passé. Ne regarde jamais en arrière. Ni pour chercher des explications, ni pour trouver le bonheur. On ne change ni le monde, ni les hommes.

Mario Puzo

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Le matin, c'est la jeunesse du jour : tout y est gai, frais et facile ; nous nous sentons vigoureux et nous disposons de toutes nos facultés. Il ne faut pas l'abréger en se levant tard, ni la gaspiller en occupations ou en conversations vulgaires.

Arthur Schopenhauer

Tout ce qui ne vient pas à la conscience revient sous forme de destin.

Carl Gustav Jung

Je laissai ainsi bifurquer mon premier amour, comme plus tard je laissai bifurquer ma politique, de la façon la plus maladroite.

Ernest Renan

La liberté d'expression peut être une liberté d'offenser.

Fleur Pellerin

On s'habitue aux défauts des autres quand on ne croit pas de son devoir de les corriger.

Françoise Sagan

S'il est une faculté de notre nature de laquelle on puisse dire qu'elle est plus merveilleuse que les autres, c'est la mémoire.

Jane Austen

On fait l'amour pour avoir des enfants et des enfants pour avoir de l'amour.

Patrick Sébastien

Le principal handicap de l'homme, c'est de vouloir être à tout pris le meilleur en sachant pertinemment que le meilleur reste à venir... Alors, pourquoi partir ?

Phil Umbdenstock

J'ai toujours eu dans l'esprit, sans bien m'en rendre compte, une sorte de balance. Sur un plateau il y avait la douleur, la mort, sur l'autre la beauté de la vie. Le premier portait toujours un poids beaucoup plus lourd, le second, presque rien d'impondérable. Mais il m'arrivait de croire que l'impondérable pût l'emporter, par moments.

Philippe Jaccottet

Ou laissez-moi périr, ou laissez-moi régner.

Pierre Corneille

La vérité rougit les yeux mais ne les casse pas

Proverbe Ivoirien

Ce n'est jamais le temps qui manque aux scélérats pour nuire, et machiner de nouveaux attentats.

Sénèque

Je le hais d'autant plus qu'il m'avait su séduire : Mais malgré le courroux dont je dois m'animer, Qu'il est dur de haïr ceux qu'on voulait aimer !

Voltaire

Quand ils sont "à l'étranger", les émigrants, on le sait, ont tendance à se raccrocher à leurs proches.

W. G. Sebald

Le silence est le plus cruel support de la panique ; il fait du doute une hantise, de l'obscurité une claustrophobie.

Yasmina Khadra