Citation de Mariama Bâ

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Si les rêves meurent en traversant les ans et les réalités, je garde intacts mes souvenirs, sel de ma mémoire.... - Mariama Bâ

Si les rêves meurent en traversant les ans et les réalités, je garde intacts mes souvenirs, sel de ma mémoire.

Mariama Bâ

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On ne discute point de grammaire sans menace.

Alain

Comment rendre l'avenir à un passé désordonné, retrouver de l'ordre dans le mélange des sentiments. Le coeur est grand mais parfois si désordonné qu''il a besoin d'une amie qui s'appelle la raison...

Anonyme

La rage de dents du loup fait rire le mouton.

Jacques Prévert

Quand le pouvoir de l'amour l'emporte sur l'amour du pouvoir, le monde connaîtra enfin la paix.

Jimi Hendrix

Il n'y a rien d'aussi infortuné qu'un homme qui n'a jamais souffert.

Joseph de Maistre

Les philosophes eux-mêmes, les abstracteurs de quintessence vont, malgré eux, par la voie simple du pauvre vicaire savoyard.

Jules Michelet

Nietzsche. Ce que j'en pense ? C'est qu'il y a bien des lettres inutiles dans son nom.

Jules Renard

Ce qui forme les habitudes, ce sont les actes fréquents et réitérés.

Louis Bourdaloue

Pour accommoder la foule des voyageurs, des convois partent maintenant toutes les dix minutes.

Marguerite Yourcenar

... que chacun se sonde au-dedans, il trouvera que nos souhaits intérieurs pour la plupart naissent et se nourrissent aux dépens d'autrui.

Michel de Montaigne

Il y a des choses qu'on peut faire, et d'autres qui paraissent trop difficile. Peu à peu, tout devient trop difficile ; c'est à cela que se résume la vie.

Michel Houellebecq

Que seriez-vous devenus sans moi ? Pendant que le général de Gaulle, hors de nos frontières, poursuivait la lutte, j'ai préparé les voies à la libération en conservant une France douloureuse, mais vivante.

Philippe Pétain

Et c'est pourquoi ma Terre maternelle, j'ai pleuré sur toi intérieurement à cet instant de l'immense parade qu'on nomme le Temps : les clowns défilent et chacun sait qu'au fond d'eux ils ont le coeur brisé.

Roger Zelazny

Un cheval pur-sang, mort de septicémie.

Sylvain Tesson

J'ai mis beaucoup de temps à me considérer comme une victime car justement j'avais été consentante. Mais j'étais tout de même en dessous de la majorité sexuelle. J'aurais donc pu aller en justice, sauf qu'à chaque fois je me disais : J'étais consentante. J'y ai repensé bien plus tard, il y avait prescription. Avec mon livre, j'ai entrepris autre chose, une réparation symbolique.

Vanessa Springora