Quand on fera danser les couillons, tu ne seras pas à l'orchestre.
Marcel Pagnol
C'est un péché de se taire quand il est de votre devoir de protester.
Abraham Lincoln
Le motif pour lequel se produisent les disputes n'est jamais aussi grave que le malaise qui en découle.
Alain de Botton
Car si l'on devait toujours penser à sa pensée, n'est-ce pas, pas moyen de penser, de se livrer à une opération mentale, supérieure à ce qui est proprement la pensée. Et non pas l'exsudat, la sécrétion de l'esprit, mais le mécanisme de cet exsudat.
Antonin Artaud
J'ai fait mon travail et je suis content de ça... Je respecte beaucoup mon père, mais je suis une personne très différente de ce qu'il était.
Brandon Lee
Seigneur ! Ne laisse pas dévier nos coeurs après que Tu nous aies guidés ; et accorde-nous Ta miséricorde. C'est Toi, certes, le Grand Donateur !
Coran
Dormez en paix, cette faute ne se renouvellera plus.
Épitaphe Anonymes
Temporiser, c'est l'art de la défense ; saisir le moment, l'art de l'attaque.
Henri-Frédéric Amiel
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : - On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
Jean de La Fontaine
Le sort est comme un marchand de veaux : pour mieux te tromper il te saoule.
Jean Giono
Les louanges sont le prix des belles actions : à leur douce rosée, les vertus croissent, comme les plantes à la rosée du ciel.
Jean-Jacques Barthélemy
La corruption est l'une des mamelles nourricières de la politique.
Jean-Marie Adiaffi
La vraie révolution n'est pas celles qui sont sanglantes : elle se produit par le développement de l'intégration et de l'intelligence en des individus qui, par leur vie même, produiront des changements radicaux dans la société.
Jiddu Krishnamurti
J'ai vu des textes alizés déployer des nuages de paysage en gouttelettes.
Michel Butor
Les chiens qui jouent au poker doivent impérativement s'attacher la queue.
Patrick Sébastien
Donnons comme nous voudrions qu'on nous donnât, surtout de bon coeur, promptement, sans marchander. Un bienfait est stérile, lorsqu'on l'a retenu longtemps dans sa main, qu'on semble ne l'avoir sacrifé qu'avec peine.
Sénèque