Citation de Lola Lafon

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Cette histoire est une écharde sur laquelle sa chair s'est recomposée, et à force d'années. Un petit coussin de vie rosé, solide et élast... - Lola Lafon

Cette histoire est une écharde sur laquelle sa chair s'est recomposée, et à force d'années. Un petit coussin de vie rosé, solide et élastique. Ce corps étranger n'en est plus un, il lui appartient, solidement maintenu dans un faisceau de fibres musculaires, à peine effrité par le temps.

Lola Lafon

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Si tout le monde était ambitieux, les danseurs s'ennuieraient moins et la danse serait plus belle.

Aurélie Dupont

J'aime parce que j'aime ; j'aime afin que je puisse aimer.

Bernard de Clairvaux

Rien de plus rare en général que d'avoir le coeur spirituel, c'est un charme et une force immense.

Comtesse Dash

Ce n'est pas parce que la vie n'est pas élégante qu'il faut se conduire comme elle.

Françoise Sagan

N'attends de ton passé héritage ou leçon que si de lui tu t'arraches sans plainte.

Gabor Garai

Français : Le premier peuple de l'univers. "Il n'y a qu'un Français de plus", a dit le comte d'Artois. Ah ! qu'on est fier d'être Français, - Quand on regarde la colonne !

Gustave Flaubert

Contre une société qui utilise la sexualité comme moyen pour réaliser une fin socialement utile, les perversions maintiennent la sexualité comme fin en soi.

Herbert Marcuse

Les vertus devraient être soeurs Ainsi que les vices sont frères.

Jean de La Fontaine

Le génie artistique peut consister à faire accepter l'inacceptable.

Jean Rostand

Les doux sont les pires êtres. Ils désarment avec un sourire à point et à poing.

Jocelyne Felx

Parfois, Dieu semblait donner un peu d'une main et reprendre beaucoup de l'autre.

Kate Atkinson

L'expérience est un médecin qui n'arrive qu'après la maladie.

Leysenne

La fiction ne suffit pas à caractériser le roman, mais un certain rapport entre cette fiction et la réalité.

Louis Aragon

Avec un très grand talent et une plus grande modestie on peut rester longtemps inconnu.

René Metz

Femme au foyer, subordonnée à Tristan. Pour elle l'homme était fort, surtout lorsqu'il mangeait, elle le regardait et se sentait faible avec ses petits organes de mastication moins énergiques, moins résistants.

Sylvie Aymard