Citation de Léo Campion

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L'homme qui reconnaît son erreur quand il a tort est un lâche. L'homme qui reconnaît son erreur quand il a raison est un homme marié.... - Léo Campion

L'homme qui reconnaît son erreur quand il a tort est un lâche. L'homme qui reconnaît son erreur quand il a raison est un homme marié.

Léo Campion

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On appelle joie cet état de l'être qui n'a besoin de rien pour se sentir heureux.

André Gide

- Pourquoi on dit Boeuf-carottes ? - Parce que quand ils t'attrapent ils te laissent mitonner à petit feu !

Anonyme

Le génie est tout simplement la capacité de réduire ce qui est compliqué à la simplicité.

C. W. Ceram

Du bois mort est celui où il ya le plus de matière consacrée à la mémoire. Et la mémoire et l'habitude sont les fourriers de la mort.

Charles Péguy

Soyez généreux et justes envers ceux qui respectent votre religion.

Coran

Corps femenin, qui tant es tendre, - Poly, souef, si precieulx...

François Villon

Les femmes ce sont les doigts et la main la passion.

Grégoire Delacourt

Jamais ils ne se querellaient, étant tous deux calmes et placides.

Guy de Maupassant

On dit que suis raciste, c'est faux. Chaque année, j'envoie un chèque à la SPA.

Jean Yanne

Souvent les railleurs sont raillés.

Proverbe Français

Ne voir dans l'amitié qu'une trompeuse amorce, c'est du beau nom d'ami ne pas sentir la force.

Publilius Syrus

On dit qu'un mime sait tout faire. C'est faux ! Un mime ne peut pas tout faire. Exemple : Un jour je devais mimer un personnage qui n'avait rien à faire. Eh bien je n'ai rien pu faire !

Raymond Devos

Le fakir plongea de nouveau sur une main tendue, qu'il remarqua copieusemenent diamantée. Il faillit même s'écorcher le nez, qu'il avait long, sur un dix-carats agressif.

Raymond Queneau

J'aime les gens pour leur talent à composer des instants rares et précieux comme des parfums anciens.

Sophie Chauveau

Le malheur de ma jeunesse et de ma période de formation s'était si profondément enracinée en moi qu'il a pu resurgir plus tard, produire des fleurs malignes, tisser au-dessus de ma tête cette voûte de feuillage vénéneux qui a tant assombri et obscurci mes dernières années.

W. G. Sebald