Citation de Jules Verne

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Que des murs aient des oreilles, passe encore, puisque c'est une locution qui a cours dans le langage usuel... mais une bouche !...... - Jules Verne

Que des murs aient des oreilles, passe encore, puisque c'est une locution qui a cours dans le langage usuel... mais une bouche !...

Jules Verne

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Ils sont libres et indépendants, les connaisseurs de leur fin proche.

Albert Cohen

Le futur n'est plus ce qu'il était.

André Fontaine

La vie est un éternel recommencement ; comme la mode d'ailleurs.

Anonyme

Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus.

Antoine de Saint-Exupéry

Croyant comme je le fais, cet homme dans un avenir lointain sera une créature bien plus parfaite qu'il ne l'est maintenant. Il est intolérable de penser que lui et tous les autres êtres sensibles sont voués à l'annihilation complète après ce lent et long progrès.

Charles Darwin

L'ininterrompu défilé des lésés et des mecontents.

Georges Courteline

Les Français sont des oiseaux qui mangent les semences au lieu d'attendre de manger les grains.

Gilbert Cesbron

On n'est pas toute sa vie à l'école, vient l'âge où il faut mettre en pratique.

Henri-Frédéric Amiel

Nous voyons l'avenir par un seul côté, le passé nous apparaît sous plusieurs faces.

Johann Wolfgang von Goethe

La marguerite : une bouche ronde qui a des dents de tous côtés.

Jules Renard

Le métier des armes fait moins de fortunes qu'il n'en détruit.

Luc de Clapiers

C'est difficile de mettre un peu d'absolu dans la mare aux grenouilles.

Pablo Picasso

Oh oui ! il aimait le jaune, ce bon Vincent, ce peintre de Hollande, ces lueurs du soleil rallumaient son âme, qui abhorrait le brouillard, qui avait besoin de la chaleur.

Paul Gauguin

Tout est possible à celui qui croit.

Saint Luc

Tant qu'il y aura des fripons et des imbéciles, il y aura des religions. La nôtre est sans contredit la plus ridicule, la plus absurde, et la plus sanguinaire qui ait jamais infecté le monde.

Voltaire