Citation de Jules Supervielle

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Quand on est riche, toutes les gaffes sont permises ; elles sont même recommandées si l'on veut avoir le sentiment de sa puis... - Jules Supervielle

Quand on est riche, toutes les gaffes sont permises ; elles sont même recommandées si l'on veut avoir le sentiment de sa puissance.

Jules Supervielle

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l y a de la beauté dans la colère, et la colère pour moi est une passion.

Alexander McQueen

Je t'aime pour le bonheur de t'aimer, de t'obéir, de dépendre de toi !

Alfred de Musset

Lorsqu'un homme prend la peine d'ouvrir la portière de sa voiture à une femme, de deux choses l'une : ou c'est la femme ou c'est la voiture qu'il possède depuis peu.

Anonyme

Celui qui dépense son argent n'est pas sage ; et celui qui le donne, il faut l'envoyer le plus tôt possible aux Petites Maisons.

August von Kotzebue

L'imagination est toujours avide, elle en veut toujours davantage.

Brian Aldiss

J'avance dans l'hiver à force de printemps.

Charles-Joseph de Ligne

Un chien pense avec son nez.

Didier Hallépée

Ceux qui nous jugent ne peuvent nous condamner que du dehors, mais ceux qui ne nous jugent pas nous forcent à nous condamner nous-mêmes du dedans.

Gustave Thibon

Ce plan si sage, conçu si rapidement, exécuté en partie, devait manquer par un jeu du Hasard qui modifie tout ici-bas.

Honoré de Balzac

Je le faisais avec maladresse, mais c'est parce que je l'aimais. On est toujours maladroit avec les gens qu'on aime. On les écrase, on les encombre avec notre amour. On ne sait pas y faire.

Katherine Pancol

On n'estime guère quelqu'un lorsqu'on ne l'aime pas, et l'on aime médiocrement lorsqu'on estime peu.

Luc de Clapiers

Ce n'est pas une question d'appréciation personnelle. Empiriquement, tu es mignonne.

Rob Reiner

Quand on promet une chose à un mourant, chacun sait bien qu'il faut tenir sa promesse.

Sylva Clapin

Gouverne qui peut ; et quand on est parvenu à être le maître, on gouverne comme on peut.

Voltaire

Le but principal de ces poèmes a consisté à choisir des incidents et des situations de la vie de tous les jours et de les raconter ou les décrire en leur entier, si possible dans une langue proche du parler ordinaire, et de les rehausser par une certaine tonalité imaginative de sorte que le banal pût se présenter à l'esprit de façon inusitée.

William Wordsworth