Citation de Jean Rostand

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Ce n'est pas certes le monde naissant qui me fait peur, mais quelquefois le visage de ceux qui l'accouchent.... - Jean Rostand

Ce n'est pas certes le monde naissant qui me fait peur, mais quelquefois le visage de ceux qui l'accouchent.

Jean Rostand

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Les islamistes ne sont pas des corollaires, ce sont des sujets historiques à part entière.

Alain Finkielkraut

Si je devais pondre un oeuf pour mon pays, je le ferais.

Bob Hope

Il faut ... vouloir ce que l'on aime, et il faut le vouloir d'une volonté profonde, pure de toute impatience, comme obscure à elle-même.

Christian Bobin

Là ou la pensée grecque admet une nécessité antirationnelle, la philosophie chrétienne brise cette nécessité parce qu'elle est irrationnelle.

Etienne Gilson

C'est une chose tres differente que d'aimer ou que de jouir ; la preuve est qu'on aime tous les jours sans jouir et qu'on jouit le plus souvent sans aimer.

Gonzague Saint Bris

PSG : GPS en panne.

Gustave Pie

La foule attire la foule ; abyssus abyssum.

Honoré de Balzac

Je hais ceux qui me privent de ma solitude sans pour autant me tenir compagnie.

Irvin D. Yalom

Le bonheur peut être trouvé, même dans les moments les plus sombres, si l'on se souvient seulement d'allumer la lumière.

J. K. Rowling

Combien mérite de mépris et de haine tout homme qui abuse, pour le malheur du genre humain, du génie et des talents que lui donna la nature !

Jean-Jacques Rousseau

Quelle intéressante contradiction ! Écrivain, vous méprisez la foule ; député, vous ne vous fiez qu'à elle.

Jules Renard

Des petites médailles d'écume blanche se détachent d'un bouillon et s'en vont à la dérive, au fil de l'eau. D'un coup de queue, une ablette court flairer une brindille de bois.

Jules Renard

Je suis le mois où nul loisir - On ne peut prendre ou séjourner, - Mais faucher, faner par plaisir, - Mettre en grange, battre et vanner.

Proverbe Français

De Sainte-Béatrice la nuée - Assure six semaines mouillées.

Proverbe Français

Il se résignait avec une mélancolie satisfaite à aimer angéliquement.

Victor Hugo