Citation de Jean Raspail

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Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, fau... - Jean Raspail

Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l'on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n'assiège plus car la vie s'en est allée ailleurs.

Jean Raspail

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L'architecture est la physionomie des nations.

Astolphe de Custine

J'en ai marre d'être sous-évalué, mais on arrive à un moment où cette authenticité devrait finir par payer. Je sens un respect à défaut de véritable reconnaissance.

Dick Rivers

L'autisme de ceux qui veulent oublier le passé est aussi terrible que l'autisme de ceux qui sont obsédés par ce passé

Édouard Louis

L'amour monte en chaire et oublie les étoiles.

Elie Delamare-Deboutteville

L'oeil a un champ réduit, il voit toujours de l'extérieur.

Emil Cioran

Chaque être se révèle unique. Dans le cas contraire, c'est nous qui ne le voyons pas.

Éric-Emmanuel Schmitt

Pour dire oui, il faut pouvoir dire non.

François Mitterrand

Les enfants trouvent tout d'un rien, les hommes ne trouvent rien dans tout.

Giacomo Leopardi

Tu vois, dans la vie, il faut accomplir ses rêves malgré tout ; il y a toujours une bonne raison de ne pas se lancer, il faut aller au-delà.

Nicolas Delesalle

C'est lorsqu'il parle en son nom que l'homme est le moins lui-même. Donnez-lui un masque et il vous dira la vérité.

Oscar Wilde

C'est le siècle de l'apparence. Paraître ou ne pas être, telle est la question.

Patrick Sébastien

Il faudrait considérer ses opinions comme des costumes, et en changer selon la saison, l'heure et le milieu.

Paul-Jean Toulet

La force est aux hommes, mais la ruse est aux femmes et tandis que la force terrasse à l'occasion, la ruse règne à la durée.

Rodolphe Töpffer

Rien n'est pour toujours sur cette terre.

Sagesse Aztèque

L'homme est parti à la découverte d'autres mondes, d'autres civilisations, sans avoir entièrement exploré ses propres abîmes, son labyrinthe de couloirs obscurs et de chambres secrètes, sans avoir percé le mystère des portes qu'il a lui-même condamnées.

Stanislaw Lem