Citation de Jean-Marie Gourio

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Pour celui qui bosse sur un chantier, le troquet est un havre, une gourmandise, un endroit où l'on se réchauffe et où l'on discute... - Jean-Marie Gourio

Pour celui qui bosse sur un chantier, le troquet est un havre, une gourmandise, un endroit où l'on se réchauffe et où l'on discute.

Jean-Marie Gourio

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Nous sommes arrivés au bout d'un système

Agnès Buzyn

L'enfance est notre bien le plus précieux.

Alain Mabanckou

Celui qui aime vraiment ne pose pas de conditions à son amour.

André Pronovost

Le déchet le plus facile à éliminer est celui que l'on n'a pas produit.

Anonyme

Danton voulait de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace. A la fin, chez les députés, plus personne n'en avait.

Claude Schnerb

Les valets applaudissent toujours aux orgies des maîtres, quand ceux-ci laissent du vin dans les bouteilles.

Claude Tillier

Botticelli a montré la concentration, la subtilité aiguë qui est celle des intellectuels constamment absorbés par la réflexion sur les idées les plus hautes et les plus ardues.

Giorgio Vasari

Comme il se fust presenté à demander l'office de tribun du peuple, il en fut debouté et en descheut par les menées de Sylla.

Jacques Amyot

Nous ne pouvons pas être à la fois le premier champion mondial de la paix et le premier fournisseur mondial d'armes de guerre.

Jimmy Carter

Le secret de l'immobilité absolue, c'est la concentration absolue.

John Irving

Travailler dur, savoir s'amuser, c'est le secret de la réussite.

Jonathan Coe

Du moment que ce littoral ne présentait aucun atterrage, il fallait chercher sur celui du sud de l'île ce qu'on n'avait pu trouver sur celui de l'ouest.

Jules Verne

Pourquoi ne m'avez-vous pas dit qu'il y avait du danger avec les hommes ? Pourquoi ne m'avez-vous pas avertie ? Les dames savent contre quoi se défendre parce qu'elles lisent des romans qui leur parlent du danger qu'il y a avec les hommes.

Thomas Hardy

Le fond, c'est la forme.

Victor Hugo

Désormais je veux supporter la douleur jusqu'à ce qu'elle-même s'écrie : "En voilà assez !" et expire.

William Shakespeare