Citation de Jean Genet

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J'ajouterai enfin que sa taille était élancée, ses épaules larges et sa voix forte d'une assurance que lui donnait la conscience de son i... - Jean Genet

J'ajouterai enfin que sa taille était élancée, ses épaules larges et sa voix forte d'une assurance que lui donnait la conscience de son invincible beauté.

Jean Genet

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Puis il court aux deux autres portes, successivement, sans plus de succès : toutes les trois sont bloquées hermétiquement.

Alain Robbe-Grillet

L'amour est un larcin que l'état de nature fait à l'état social.

Antoine de Rivarol

L'idée que l'informatique avait pour mission de parachever l'histoire fut l'une des grandes croyances postmodernes. L'information permettait à celui qui la possédait d'accomplir, comme un super pouvoir, des choses jusque là impossible.

Aurélien Bellanger

J'avais tant aimé son odeur jadis. Une odeur toujours fraiche : de linge frais ou de sueur fraiche, une odeur de femme fraichement lavée ou aimée.

Bernhard Schlink

Nous étions un couple ordinaire dans une fonction extraordinaire, soumis à une pression extraordinaire, et nous n'y avons pas résisté.

Cécilia Attias

J'ai toujours eu ce terrible besoin d'être quelque chose de plus qu'un être humain. Je me sentais puni par le fait d'être humain.

David Bowie

N'est-il pas juste de rendre mal pour mal à un ennemi ?

Eschyle

Jamais homme noble ne hait le bon vin : c'est un apophtegme monacal.

François Rabelais

C'est beaucoup pour les hommes d'avoir des phrases à dire en faveur de leur conduite : ils s'en servent d'abord pour tromper les autres, et finissent par se tromper eux-mêmes.

Germaine de Staël

Comme il est vrai que le désastre frappe là où personne ne le voit ni ne l'entend !

Ian Watson

Vous auriez dû comprendre, Monsieur le professeur, que cela fait nombre d'années que vous nous cassez les pieds avec votre questionne-ère.

Jacques Prévert

Je me demande bien ce que tous les touristes viennent foutre à Paris, moi j'y passe déjà onze mois, tu m'y enverras pas en vacances !

Jean-Marie Gourio

Il dit : Mais je te préfère maintenant avec ce corps alourdi, les traits affaissés, la peau crevassée. Je t'aimerais moins s'il n'y avait pas tout ce temps sur toi, toutes ces années. Je pense même que je ne t'aimerais pas du tout.

Philippe Besson

Pour échapper aux éditions pirates Je ne réalise plus mes dessins qu'au Tipp-Ex.

Philippe Geluck

Le travail est l'aliment des âmes nobles.

Sénèque

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