Citation de Jean-François Revel

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... l'avez- vous remarqué ? ce sont toujours Pétain ou Foch qui gagnent les guerres et ce sont toujours les Français qui le... - Jean-François Revel

... l'avez- vous remarqué ? ce sont toujours Pétain ou Foch qui gagnent les guerres et ce sont toujours les Français qui les perdent.

Jean-François Revel

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N'ayez pas peur que cette suite de petits cris éteints et affaiblis qui composent un livre de philosophie nous en apprenne trop sur l'univers pour que nous ne puissions plus y vivre.

Anatole France

Pourtant je dois m'exprimer d'une façon ou d'une autre, je dois réfléchir - c'est un tel soulagement !

Charlotte Perkins Gilman

Un tête-à-tête permanent avec Dieu, dans cette vie, serait accablant. Il faut à l'amour un peu d'absence.

Christian Bobin

Je suis ... affamé de bien faire et travailler comme quatre boeufs.

François Rabelais

Une pierre ne suffit pas à faire un mur.

Franz-Olivier Giesbert

Il y a une exubérance dans la bonté qui semble être de la méchanceté.

Friedrich Nietzsche

Sans voir la porte, en deux sauts, il a été dehors. Il avait encore les yeux collés de sommeil.

Jean Giono

Enfin, le voilà dans ses armures et fanfreluches complètes de prêtre-guerrier qui frotaille de petites crécelles de bois sec.

Jean Giono

... Ils aiment mieux qu'on le leur donne à croire qu'à comprendre.

Joseph Joubert

Qui néglige de punir le mal sanctionne.

Léonard de Vinci

Il avait appris depuis longtemps que la société inflige des affronts qu'on doit supporter d'autant mieux qu'on sait avec certitude que l'heure vient toujours où le plus humble, s'il ouvre un oeil vigilant, trouve l'occasion de tirer vengeance du plus puissant.

Mario Puzo

Je suis si chanceuse d'avoir l'occasion de travailler avec des réalisateurs et des acteurs avec lesquels je n'aurais pas osé penser que je travaillerais un jour.

Marion Cotillard

Je crois, si je me l'étais mis en tête, que je marierais le Grand Turc avec la République de Venise.

Molière

L'attention, c'est le burin de la mémoire.

Pierre-Marc-Gaston de Lévis

La femme parfaite, vous le voyez, était une travailleuse, ce n'était pas une oisive ni une grande dame, mais une femme qui employait ses mains et sa tête pour le bien des autres.

Thomas Hardy