Citation de Jean de La Bruyère

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Il n'y a pour l'homme que trois événements : naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il souffre à mourir, et il o... - Jean de La Bruyère

Il n'y a pour l'homme que trois événements : naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il souffre à mourir, et il oublie de vivre.

Jean de La Bruyère

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Explorer les Citations

La beauté n'est pas quelque chose dont on puisse convaincre un tiers.

Alain de Botton

Il y a un instant, entre la 15ème et la 16ème gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate.

Amélie Nothomb

Le travail d'équipe est essentiel. En cas d'erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre.

Anonyme

La guerre, ce n'est pas l'acceptation du risque. Ce n'est pas l'acceptation du combat. C'est à certaines heures, pour le combattant, l'acceptation pure et simple de la mort.

Antoine de Saint-Exupéry

Nous sommes au monde par hasard, dis-je. Père, mère, enfants, tout vient par hasard. Inutile de pleurer. On naît et on meurt seuls...

Cesare Pavese

L'égalité ne peut régner qu'en nivelant les libertés, inégales de leur nature.

Charles Maurras

Le combat des femmes m'a permis d'être un meilleur père.

François Hollande

Le but de la construction est de faire des choses ensemble ; le but de l'architecture de nous déplacer.

Le Corbusier

La renommée est la messagère indifférente du mensonge et de la vérité.

Le Tasse

Certes, si le corps se décompose, la pensée, elle, ne meurt pas

Lounès Matoub

Ce qu'on aurait fait le jour, il arrive en effet, le sommeil venant, qu'on ne l'accomplisse qu'en rêve, c'est-à-dire après l'inflexion de l'ensommeillement.

Marcel Proust

Le plus grand faible des hommes, c'est l'amour qu'ils ont de la vie.

Molière

Nous nous reconnaissions comme des braves, comme de ceux qui sont le sel d'une armée. Et chacun devenait encore plus brave en regardant l'autre.

Pierre Drieu la Rochelle

L'attente tourmente.

Proverbe Français

J'aimerais écrire une réplique au Journal du Séducteur. Ce serait une figure féminine - journal d'une hétaïre qui vaudrait la peine qu'on l'esquisse.

Søren Kierkegaard