Citation de Jean Cocteau

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Je n'attache aucune importance à ce que les gens appellent le style et à quoi ils se flattent de reconnaître un auteur. Je veux qu'on m... - Jean Cocteau

Je n'attache aucune importance à ce que les gens appellent le style et à quoi ils se flattent de reconnaître un auteur. Je veux qu'on me reconnaisse à mes idées, ou mieux, à ma démarche.

Jean Cocteau

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Nous avons des remèdes pour faire parler les femmes ; nous n'en avons pas pour les faire taire.

Anatole France

Il est sage de ne mettre ni crainte, ni espérance dans l'avenir incertain.

Anatole France

Il parle tellement de lui que je n'ai jamais le temps de parler de moi.

Anonyme

Les curés sont consolés de ne pas s'être mariés quand ils entendent les femmes se confesser.

Armand Salacrou

Il faut lutter. Mot à mot. Pied à pied. Ne rien céder. Pas une syllabe, pas une consonne. Sans le langage, que reste-t-il ?

Delphine de Vigan

Nous n'avons qu'un ennemi : la pesanteur.

Gabriel Matzneff

Un ris, un baillement, comme quand on a envie de dormir, est reprehensible.

Jacques Amyot

Rejeter toute idée reçue, ne jamais cesser de se remettre en question.

Janine Boissard

Nous prononçons de ces paroles inutiles et vaines que le simple mouvement de la marche fait sortir de la bouche.

Jules Renard

Les sentiments les plus simples à éprouver sont aussi, souvent, les plus difficiles à exprimer.

Laurent Maria Deschanel

Il ne nous est pas donné de nous substituer à autrui. De le rencontrer parfois, seulement, à la faveur d'une coïncidence fragile...

Martine Le Coz

Quand les plus âgés commettent des fautes, la jeunesse apprend à mal faire.

Publilius Syrus

Une idée animée par le génie et portée par la passion est plus forte que tous les éléments réunis.

Stefan Zweig

Tu sais ce qu'on dit sur la mafia, Georges : tu mets le pied dedans, t'en sors plus que les pieds devant.

Stephen King

Les hommes sont avril quand ils font la cour et décembre une fois mariés. Les filles sont mai tant qu'elles sont vierges, mais le ciel change dès qu'elles sont femmes.

William Shakespeare