Citation de Jacques Bainville

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Quand l'Etat sera nu et dépouillé, quand tout le monde sera pauvre, nous le verrons bien et nous ne ferons de reproche à personne,... - Jacques Bainville

Quand l'Etat sera nu et dépouillé, quand tout le monde sera pauvre, nous le verrons bien et nous ne ferons de reproche à personne, puisque tel est notre bon plaisir. C'est ce qu'on appelle le gouvernement du peuple par le peuple, ou démocratie.

Jacques Bainville

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Une plante charnue avec des feuilles en forme de main qui s'avancent au-dessus de lui.

Alain Robbe-Grillet

Les hommes sont de grands stratèges.

Barbara Constantine

Le travail : une malédiction que l'homme a transformée en volupté.

Emil Cioran

C'est avec la tête qu'on écrit. Si le coeur la chauffe, tant mieux, mais il ne faut pas le dire. Ce doit être un four invisible.

Gustave Flaubert

A la guerre, on tue non pour tuer, mais pour ne pas être tué.

Henri Brialmont

Le pauvre ne doit se coucher que pour mourir.

Honoré de Balzac

Il est des pensées qui, comme certaines fleurs doivent se respirer lentement, en osant prendre le temps de ralentir le temps.

Jacques Salomé

L'espoir est l'envers de la mort.

Jean-Paul Filion

La personne qui s'est levée tôt ce matin et à qui l'avenir appartient est priée de le rendre meilleur. Merci.

Kathy Dorl

Soldats, songez que, du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent.

Napoléon Bonaparte

La noblesse est un intermédiaire entre le roi et le peuple. Oui, comme le chien de chasse est un intermédiaire entre le chasseur et les lièvres.

Nicolas de Chamfort

On ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs.

Proverbe Français

La vie, c'est la victoire qui dure.

Roger Martin du Gard

Il y a dans l'exemple une puissance qui surpasse toutes les autres ; sans y songer, on redresse les autres en marchant droit.

Sophie Swetchine

... il n'y a rien à gagner avec un enthousiaste : il ne faut point s'aviser de dire à un homme les défauts de sa maîtresse, ni à un plaideur le faible de sa cause, ni des raisons à un illuminé.

Voltaire